Aujourd'hui Frédéric Lopez retrouve Thierry Lhermitte à l'aéroport pour l'emmener vers une destination inconnue pour une semaine. L'acteur ne découvrira que dans l'avion qu'il part pour une semaine à Madagascar en pleine forêt primaire. Scène symptomatique de début de film : tout en acceptant de jouer le jeu de la production - ne pas savoir dans quel pays il part ni qui il va rencontrer - Thierry ne souhaite pas se séparer de sa montre-boussole et de son téléphone portable... C'est une fois arrivé dans le nord de Madagascar, dans le village natal du biologiste malgache Augustin Savory, hôte de Thierry, qu'il découvre et est touché par une grande pauvreté et une grande richesse. L'une est économique, l'autre est intérieure. Plus tard, c'est la longue et harassante montée dans la forêt vierge à la recherche des lémuriens - toujours avec ce sens de l'humour en bandoulière - la rencontre avec les paysans, les "dîners-surprises", et pour finir une fête en musique, où à chaque instant, Thierry s'est senti proche des gens et du pays.
Frédéric Lopez retrouve Pierre Palmade à l'aéroport pour l'emmener vers une destination inconnue. L'humoriste ne découvrira que dans l'avion qu'il part pour une semaine au Niger à la rencontre des Touaregs. Première étape, Kanaré, le village de Omer Dovi, un défenseur des girafes. Puis direction le village Peul, où Pierre va découvrir l'économie locale et les problèmes quotidiens de cette tribu. Dernière étape, un campement touareg dans lequel l'artiste va complètement s'intégrer. Homme aux multiples facettes, auteur, comédien et metteur en scène, cet explorateur des mots s'est échappé de sa trépidante vie d'artiste pour se plonger dans un voyage intérieur, à la rencontre des peuples du désert nigérien.
Frédéric Lopez retrouve Emmanuelle Béart à l'aéroport pour l'emmener vers une destination inconnue pour une semaine. L'actrice ne découvrira qu'une fois dans l'avion qu'elle part à Socotra au large du Yémen. Coupée du monde durant plus de 50 ans - l'URSS a fait croire qu'elle cachait une base militaire - Socotra est un véritable sanctuaire. Ses habitants vivent de grottes en grottes en suivant leurs chèvres. Emmanuelle Béart est accueillie chez ces bédouins afin de découvrir leur quotidien. Puis l'actrice rencontre des apiculteurs produisant le miel le plus cher du monde, avant de terminer son voyage sur les côtes de l'île menacée par un tourisme de masse potentiel. Emmanuelle Béart se retrouve face à un peuple fier de son savoir, mais partagé entre l'envie de modernité et l'attachement à un mode de vie millénaire.
Frédéric Lopez emmène Muriel Robin au Cameroun, dans la forêt tropicale dans l'extrême sud du pays, à la frontière de la Guinée équatoriale, à la rencontre de ceux qui la peuplent et de ceux qui tentent de la préserver. Ils sont accompagnés de Bertin Tchikangwa, docteur en sociologie et responsable d'un parc national qui abrite les Pygmées Bagyeli. En faisant abstraction du climat chaud et humide qu'elle déteste, Muriel Robin se laisse emporter dans une expérience inoubliable, à la rencontre des habitants d'un village, vivant de chasse, de cueillette et de pêche. Leur périple les amène ensuite, dans la réserve de Campo à la recherche des gorilles des plaines en compagnie d'une primatologue, Cécile Neel. Enfin, ils visitent un sanctuaire dans lequel Patricia Leschaeves et son association ' Papaye France ' recueillent des chimpanzés orphelins, victimes du braconnage, et qui seront réintroduits à terme dans leur milieu naturel...
En Namibie, Muriel Robin va rencontrer les Himbas du Kaokoland, des hommes et des femmes à l'apparence fascinante et incarnant avec noblesse une culture en danger. Le tout dans un environnement d'une rare beauté où la faune sauvage n'est jamais très loin…
L'humoriste Patrick Timsit Part à la découverte des Mentawais en Indonésie, au large de Sumatra. Au bout d'un très long voyage, Patrick Timsit découvre un peuple qui a résisté à la politique de l'époque qui consistait à ce que les peuples vivants traditionnellement, aillent vivre dans les villes et quitte leur tradition. Ce peuple de chasseur-ceuilleur vit en harmonie avec la forêt qui les entoure.
Au-delà du cercle polaire arctique où les températures peuvent atteindre -50°C, l’Homme survit grâce à un animal : le renne. Éleveurs, les Nénètses sont encore environ 10.000 à perpétuer un mode de vie nomade. Ils se déplacent près de 70 fois par an sur plus de 1 000 Km, à la recherche des pâturages de lichen blanc, principale source de nourriture des troupeaux. Les Nénètses sont les plus grands éleveurs de rennes de la planète mais pour combien de temps encore ? Quel est l’avenir de ce peuple qui vit au-dessus d’un trésor convoité par le monde entier : le plus grand gisement de gaz de la planète. L’actrice et réalisatrice Charlotte de Turckheim, va passer, en compagnie de l’animateur Frédéric Lopez, quelques jours avec ces nomades du grand froid. Entre rires et larmes, ils découvrent un mode de vie à mille lieues du leur.
Cette émission veut faire découvrir aux téléspectateurs un peuple lointain, dont la culture et les traditions sont menacées par un mode de vie moderne. Cette découverte s'effectue via le regard d'une personnalité, qui accepte de s'envoler pour une destination qu'il découvre une fois dans l'avion. Cette fois ci, c'est Bruno Solo qui s'envole vers les steppes Mongoles et de ses cavaliers.
Cette fois, c'est Adriana Karembeu qui a accepté de suivre Frédéric Lopez en terre inconnue. Bandeau sur les yeux, elle s'envole pour une Afrique différente et secrète : les hauts plateaux d'Abyssinie. C'est là, au Nord de l'Éthiopie, qu'Adriana Karembeu a rendez-vous avec les Amharas. Ce sont les montagnards de l'Afrique. Les Amharas vivent en effet à près de 4 000 mètres d'altitude, dans des hameaux entourés d'à-pics vertigineux. Ces premiers Chrétiens d'Afrique sont venus s'installer dans ce royaume céleste, il y a plus de 2 000 ans. Les églises, parfois installées dans de simples grottes sur les sommets, sont aujourd'hui encore le siège d'un incroyable recueillement. Agriculteurs et éleveurs audacieux, les Amharas ont su composer avec l'âpreté de cette région. Ils ont façonné ces reliefs et prospéré sur ces terres pendant des siècles. Mais l'équilibre semble rompu. Aujourd'hui, les montagnes sont surpeuplées. Depuis le début du siècle, la population a été multipliée par six. Conséquences : soumis à une utilisation répétée, les sols s'épuisent et la déforestation entraîne une érosion intense. Les terres viennent à manquer cruellement, et les enfants des Amharas ne pourront pas tous rester sur ces hauteurs. Beaucoup devront partir et construire leur avenir ailleurs. Seule condition pour que le départ en ville ne s'apparente pas un exil : l'éducation. Une notion nouvelle dans une région où l'école n'est pas obligatoire. Le savoir, ici, peut sauver des vies. Il permet d'augmenter les rendements, d'améliorer les conditions de vie, et, surtout, de sauver les adolescentes du mariage arrangé. Sissay est porteur d'espoir pour toute cette génération. Il y a quelques années, ce père de famille a vécu une véritable prise de conscience qui a définitivement changé sa vie. Depuis, c'est chaque jour qu'il lutte pour offrir aux enfants, en particulier aux jeunes filles, la possibilité d'accéder à l'éducation. Aujourd'
C'est en Afrique de l'Ouest, au cœur de la République du Mali, dans un univers aride et minéral que se cache un autre monde : le pays Dogon. Spectaculaires, mystérieux, énigmatiques. Tous les qualificatifs ont été utilisés par les ethnologues, les écrivains et les voyageurs pour décrire le peuple Dogon. Et, aujourd'hui encore, les fantasmes se mêlent à la réalité quand on parle de l'habitat, la cosmogonie et l'organisation sociale des Dogons. Comment aller au-delà des clichés ? Et que veut dire être Dogon au XXIe siècle ? C'est ce qu'Edouard Baer et Frédéric Lopez ont tenté de comprendre en allant à leur rencontre et en vivant avec eux pendant deux semaines.
Les yeux bandés, la chanteuse Zazie suit Frédéric Lopez en terre inconnue. Ce n'est qu'en vol qu'elle apprend sa destination finale : la Papouasie occidentale, aux confins de l'archipel indonésien. Pour atteindre ce territoire, cinq jours de voyage sont nécessaires. Après trois jours d'avion, une journée de pirogue et une autre de marche au coeur de la deuxième plus grande forêt tropicale du monde, Zazie et Frédéric Lopez arrivent enfin dans le clan de Ndahi, un Korowaï. C'est un peuple de chasseurs-cueilleurs, resté isolé du reste du monde jusqu'en 1978. Ndahi fait découvrir sa maison haute, une construction entièrement végétale perchée à plus de douze mètres au-dessus du sol.
C’est au tour du chanteur Gilbert Montagné de suivre Frédéric Lopez en terre inconnue. En plein vol, il apprend sa destination finale : le Zanskar. A l’extrême nord de l’Inde, aux confins des montagnes de l’Himalaya, se cache un royaume millénaire, un des derniers refuges de la culture tibétaine libre. A plus de 4 000 mètres d’altitude, Purni. C’est dans ce village que Gilbert Montagné a rendez-vous avec Dolma, son fils Dorje et le reste de la famille. Dolma et les siens sont Zanskarpas, ils sont agriculteurs et éleveurs. Ils vivent dans l’une des régions les plus hostiles de la planète, coupés du reste du monde 8 mois par an à cause des abondantes chutes de neige qui bloquent les cols. A quelques jours des premières neiges, pour Dolma, comme pour tous les habitants de la vallée du Zanskar, le temps presse. Bientôt, ils ne pourront plus compter que sur eux-mêmes. Ils doivent impérativement terminer les travaux des champs et stocker assez d’orge pour survivre en autarcie pendant l’hiver, interminable. Isolés des hommes pendant de longs mois, les habitants du Zanskar ne se sentent pas pour autant abandonnés. Fervents bouddhistes, ils implorent les Dieux et demandent aux moines de prier pour que leurs familles soient protégées : hiver court et peu rigoureux, santé et nourriture pour les hommes et les animaux… Voilà ce à quoi aspirent les Zanskarpas pour cette vie. Pour la prochaine, c’est une question de Karma… Les conditions de vie dans cette vallée sont particulièrement difficiles et, pour y échapper, certains jeunes quittent les villages. Les plus chanceux suivront des études en ville et c’est délibérément qu’ils choisiront d’y rester ou de retourner dans la vallée pour aider leurs parents et perpétuer un mode de vie ancestral.
Le 1er décembre 2009, est inaugurée une émission dérivée des précédentes, qui consiste à inviter des participants aux différents voyages (Bruno Solo, Patrick Timsit, Muriel Robin et Charlotte de Turckheim pour la première émission) et à confronter leurs expériences sur le plateau, en illustrant leurs propos d'images de leurs voyages, parfois inédites. Parmi les points forts de ces émissions : la projection des films aux familles que les invités ont rencontrées, leur point de vue sur le film, ainsi que la projection des autres films à ces mêmes familles, afin de susciter des réactions. On peut citer comme principales réactions des familles : -le fort intérêt sur la partie du film qui se passe chez la vedette et l'envie d'y aller ; - la fidélité du reportage et l'intérêt de conserver les images et de les faire connaître aux autorités locales ; - les réactions quant aux autres familles assez proches du ressenti européen (difficulté de la vie, images choquantes, etc.) ; - le très bon souvenir gardé par les familles de cette expérience.
Les yeux bandés, guidée par Frédéric Lopez, Marianne James embarque pour une destination inconnue. Après trois longues journées de voyage, la chanteuse se retrouve en Indonésie, dans l'archipel des Banggai. Frédéric Lopez lui présente alors ses hôtes : les Bajaus, une ethnie de pêcheurs nomades. Pendant la moitié de l'année, ils se sédentarisent et vivent, dans un petit village coupé du monde, dans des maisons sur pilotis. Ces mois sont exclusivement consacrés à la pêche et à la collecte des produits de la mer. Des conditions de tournage difficiles et la barrière de la langue ne semblent pas pouvoir freiner l'enthousiasme de Marianne James.
Ce documentaire nous permet de découvrir le quotidien d'un peuple dont on ne soupçonne même pas le mode de vie, ou du moins vaguement. Loin des tumultes de la vie parisienne, après quatre interminables jours de voyage, Gérard Jugnot et Frédéric Lopez arrivent enfin chez les Chipayas, que l'on surnomme le Peuple de l'eau. Frederico et Sebastian, les chefs de la communauté, accueillent les deux Français avec une générosité et un respect impressionnants. Un peu intimidés au départ et perdus dans ce décor naturel à la limite du réel, nos voyageurs s'adaptent peu à peu à un quotidien difficile. Sur l'une des terres les plus hostiles de la planète, où la survie est un combat de tous les jours, ces hommes et ces femmes luttent inlassablement et travaillent sans relâche. Canaux, digues : ils construisent tout de leurs mains. Une façon de vivre qui a vite épuisé notre Gérard Jugnot national, qui se faisait taquiner par les Chipayas : ils n'ont pas hésité à lui dire qu'il était un tantinet "grassouillet" ! L'homme qui avait assuré à Frédéric Lopez qu'il ne pleurerait pas, a fini par être dépassé par les évènements : au moment du départ, Gérard Jugnot fond en larmes. "C'est l'humain qui fait que cette terre hostile est vivable. Frederico et Sebastian sont des héros du quotidien" confiera-t-il.
Après quatre jours de voyage, Virginie Efira arrive enfin dans la région du Khövsgöl, à quelques dizaines de kilomètres de la frontière russe. Elle a rendez-vous avec le peuple Tsaatan, l’une des plus petites ethnies de la planète. Ces nomades ne sont plus que 240 environ à vivre de manière traditionnelle, dans des campements de « urts », dans l’immensité de la Taïga. Virginie Efira va ainsi partager le quotidien de Ganbat et de sa communauté. Les Tsaatans sont nomades et éleveurs de rennes. Leur particularité : ils sont une des rares populations à transhumer à dos de rennes. Leur existence au XXI e siècle semble miraculeuse. Longtemps méprisés, dans leur propre pays, ils ont subi une sédentarisation forcée pendant la période communiste. A la chute du bloc soviétique, certains sont retournés vivre comme leurs ancêtres, au cœur de la forêt. Mais aujourd’hui, leur liberté est à nouveau menacée. Sous leurs pieds … un trésor extrêmement convoité : l’or. Dans certaines zones du territoire Tsaatan, c’est déjà la ruée vers l’or. Pour le moment, Ganbat et les siens refusent de vendre leur terre. Fiers de leurs traditions, ils résistent, mais pour combien de temps encore ?
Pour ce nouvel épisode, c’est Frédéric Michalak qui a accepté d’embarquer, les yeux bandés, vers une nouvelle terre inconnue. Destination finale : l’extrême Nord-Est du Vietnam. Frédéric Michalak a rendez-vous avec l’une des plus petites ethnies du pays : les Lolo noirs. Après 3 jours de voyage, il arrive dans la région montagneuse de Cao Bang, à une trentaine de kilomètres de la frontière chinoise. C’est là que vivent les Lolo noirs. Ils sont moins de 2000 de ce côté de la frontière et parlent une langue que peu de gens comprennent. Aujourd’hui encore, les Lolo noirs restent une population mystérieuse, empreinte de traditions séculaires.
À l’extrême Sud-Ouest de l’Ethiopie, aux confins du Soudan et du Kenya, vivent les Nyangatom : les « faiseurs de paix ». Un peuple fier, qui lutte contre une tradition guerrière. Et qui est capable, chaque jour, de célébrer la vie en dépit d’une existence rude. Pour ce nouvel épisode, c’est Zabou Breitman qui a accepté de s’envoler, les yeux bandés, vers une nouvelle terre inconnue. En plein vol, elle découvre sa destination finale : la basse vallée de l’Omo, au Sud-Ouest de l’Ethiopie. Il s’agit certainement de l’un des derniers territoires secrets de la corne de l’Afrique. Une région isolée, où vivent de nombreuses ethnies de pasteurs semi-nomades. Au cœur de cette savane semi-aride, Zabou Breitman a rendez-vous avec leurs plus fiers représentants : les Nyangatom. A la fois éleveurs, agriculteurs et pêcheurs, ils entretiennent une relation étroite avec la nature dont ils dépendent pour leur subsistance. Des guerriers en quête de paix Les Nyangatom ont aussi la réputation d’être les guerriers les plus redoutés de la vallée. Encore récemment, pour devenir un homme, il fallait tuer un ennemi… Mais depuis peu, la jeune génération remet en question cette tradition violente. Ces héritiers des guerriers d’antan se nomment eux-mêmes les « faiseurs de paix ». Ces pacificateurs ont décidé de mettre fin aux conflits meurtriers entre les différentes ethnies. Pendant deux semaines, Zabou Breitman va découvrir le quotidien de Lokwam, Lokomsio et leurs familles. Des hommes et des femmes fiers de leur culture. Et qui malgré une existence rude, célèbrent chaque soir la vie en dansant sous les étoiles. Nous arrivons à un moment charnière et particulièrement déterminant dans l’histoire des Nyangatom. Toute la région est sur le point de vivre des bouleversements sans précédent, qui menacent l’équilibre de la vallée : construction de routes et d’un barrage hydroélectrique géant, des p
A l'est du Tchad, Sylvie Testud part en compagnie de Frédéric Lopez à la rencontre des Gorane, des éleveurs qui vivent au milieu du désert. Au coeur du Sahara, l'Ennedi est une région et un massif rocheux, grand comme la Suisse. Un monde minéral et aride, presque déserté de toute présence humaine et où les amplitudes de température entre le jour et la nuit peuvent dépasser les 40°. Les Gorane sont les âmes de ce royaume de sable et de grès. Nomades éleveurs de dromadaires, ils connaissent ce territoire comme s'ils en avaient façonné eux-mêmes les contours. Comment peut-on vivre ici ? Alors même qu'il n'a pas fait une telle sécheresse depuis 30 ans. Les nomades apprennent dès l'enfance qu'on ne peut survivre seul dans le désert. Que leurs animaux sont leur plus grande richesse. Et que la quête permanente de l'eau est le pouls de leur existence.
Retour de terre inconnue - Sylvie Testud revient sur son expérience au Tchad.
Lors d’une émission exceptionnelle, ce mardi 18 décembre à 20h45 sur France 2, Frédéric Lopez et son équipe retrouveront quatre personnalités en plateau. Ensemble, ils répondront à des questions et révéleront les coulisses de leur aventure humaine en terre inconnue. Adriana Karembeu, Zazie, Gérard Jugnot et Gilbert Montagné revivront ainsi les meilleurs moments de leur Rendez-vous en terre inconnue et partageront avec le public leurs émotions et les souvenirs de ces rencontres inoubliables.
Frédéric Lopez emmène François-Xavier Demaison à la rencontre des bergers semi-nomades installés dans les contreforts des monts Aravalli, en Inde. C'est dans l'Etat du Rajasthan, au nord-ouest du pays, que l'humoriste et comédien a rendez-vous avec les Raika. Ces derniers entretiennent une relation unique avec les dieux et le monde des esprits. François-Xavier Demaison va vivre au rythme de ces personnes pendant plusieurs jours tout en découvrant leurs coutumes. L'acteur découvre le quotidien difficile des Raïka. La vie d'éleveur est un choix que les jeunes ne veulent plus faire. Ce séjour en immersion totale lui réserve de nombreuses surprises.
La journaliste Mélissa Theuriau accepte de suivre Frédéric Lopez, les yeux bandés, dans un voyage mystère. En plein vol, sa destination lui est révélée : le nord de la Tanzanie, où l'attend l'immensité du lac Natron et de ses plaines sauvages, dominées par le volcan Lengaï. C'est là qu'elle doit rencontrer des Maasaï, une population d'éleveurs et de guerriers semi-nomades. En partageant leur quotidien plusieurs jours durant, elle apprend à connaître leurs coutumes, leurs traditions et leurs habitudes, mais aussi leurs difficultés, leurs aspirations et leurs rêves, dans une modernité qui ne les épargne guère.
Franck Desplanques, le rédacteur en chef de l'émission « Rendez-vous en terre inconnue », est retourné en Papouasie chez les Korowaï qui avaient accueilli Zazie et dans l'Himalaya chez les Zanskarpas qui avaient reçu Gilbert Montagné. Sa mission : prendre des nouvelles de ces populations, leur montrer les images tournées avec elles et recueillir leurs premières impressions. Franck a aussi montré aux Korowaï et à leur chef Ndahi le film sur le Zanskar et à Dolma et sa famille, celui tourné en Papouasie.
Arthur part à la rencontre d'une communauté de Quechua, des Amérindiens, habitant à 4 500 m d’altitude au cœur de la cordillère des Andes, au Pérou. Dans les montagnes, Rosauro, René et leurs familles, agriculteurs et éleveurs de lamas et d'alpagas, vivent selon l’Ayni, l’entraide. Une réciprocité à laquelle ils doivent leur survie. Au programme de ces vingt jours en immersion : la récolte des pommes de terre, la construction d'une habitation en pierre, des nuits agitées au milieu de cochons d'Inde et l'ascension d'un glacier pour recueillir la glace sacrée qui bénira les troupeaux.
Interview de Marianne James (chez les Bajaus en Indonésie), de Virginie Efira (chez les Tsaatans en Mongolie) et de Frédéric Michalak après la diffusion de rendez vous en terre inconnue chez les Lo Lo Noirs
Frédéric Lopez emmène le comédien et réalisateur Clovis Cornillac chez les Miao, une minorité vivant dans les montagnes de la Lune, dans la province chinoise du Guizhou. Ils se rendent à pied dans la famille de Niu, riziculteur, et de sa femme Pu. Ils sont installés dans un village au sommet d'un piton rocheux, dominant rizières, forêts de bambous et sapins. Clovis et Frédéric arrivent au moment de la récolte de riz, effectuée avec de simples faucilles et les mêmes gestes depuis des millénaires. Les maisons ont gardé leur architecture séculaire mais elles sont équipées, depuis douze ans, de l'électricité et de l'eau courante.
Retour de terre inconnue - Clovis Cornillac revient sur son expérience en Chine.
Pour ce 19e Rendez-vous en terre inconnue, c’est Mélanie Doutey qui a accepté de s’envoler les yeux bandés au bras de Frédéric Lopez. Et c’est seulement en plein vol qu’elle découvre sa destination : l’extrême ouest de la Mongolie. Une immense surprise, qui la bouleverse tout particulièrement car elle a des origines mongols… Après quatre jours de voyage, Mélanie Doutey découvre enfin l’immensité des steppes mongoles, couvertes d’un fin manteau neigeux. Dans ce pays trois fois plus grand que la France, où vivent moins de deux habitants au kilomètre carré, elle part à la rencontre d’une famille d’éleveurs de chameaux de Bactriane. Trois générations d’éleveurs se battent pour la sauvegarde de cet animal surprenant, endémique des régions d’Asie centrale. Ces nomades emblématiques luttent également pour leur avenir dans une Mongolie en pleine mutation, économique et environnementale. En cette fin d’hiver, les températures avoisinent les - 30°C. Mélanie Doutey découvre une famille isolée, dont les yourtes sont blotties à l’abri des contreforts des monts Altaï. C’est dans ce décor lunaire, battu par les vents, que vit la famille de Nyamsuren. Un éleveur charismatique à l’énergie contagieuse, qui s’est lancé un défi un peu fou : adapter les chameaux de Bactriane à la vie en montagne. Un véritable tour de force qu’il doit à un optimisme à toute épreuve et à sa passion sans borne pour cet animal. Et c’est aussi au nom de cette passion que Nyamsuren va entraîner Mélanie Doutey et Frédéric Lopez dans un voyage extraordinaire, à des milliers de kilomètres… Nyamsuren et sa femme, Oyuntuya, s’occupent de leurs trois enfants avec un amour infini. Aujourd’hui, la Mongolie se modernise, et la vie des éleveurs se fait de plus en plus précaire. Mais les jeunes qui choisissent de partir en ville sont peu nombreux à trouver du travail. Un choix d’éducation difficile pour les paren
Retour de terre inconnue - Mélanie Doutey revient sur son expérience en Mongolie.
La comédienne Cristiana Reali part à la découverte des Aborigènes, sur les côtes sauvages du Kimberley, au nord-ouest de l'Australie. Pour elle comme pour Frédéric Lopez, c'est un véritable choc de rencontrer le clan des Worrorra, qui ont décidé de revenir sur la terre de leurs ancêtres.
Retour de terre inconnue - Cristiana Reali revient sur son expérience en Australie.
Zabou Breitman évoquera son séjour en Ethiopie à la rencontre des Nyangatom en 2011. Mélissa Theuriau parlera de son quotidien avec les Maasaï en Tanzanie en 2013. Enfin, François-Xavier Demaison, qui s’était rendu au Rajasthan chez les Raïka, reviendra sur les meilleurs moments de son aventure. Les trois invités partageront ensemble leurs expériences en livrant les coulisses de l’émission. Ils découvriront également des images récentes des peuples rencontrés. Enfin, le rédacteur en chef de Rendez-vous en terre inconnue viendra leur donner des nouvelles des familles. « J’attendais ce moment depuis quatre ans » a avoué l’ex animatrice de M6 à Télé 7 jours tout en expliquant vouloir revenir voir les Massaï.
Kev Adams se rend dans l'extrême sud-ouest de l'Ethiopie, à la rencontre des Suri, l'un des peuples les plus emblématiques de la vallée de l'Omo. Ces jeunes bergers, gardiens d'une tradition millénaire, passent plusieurs mois par an au coeur d'une nature grandiose, coupés de leur famille, afin de garder les troupeaux, l'unique richesse de leur communauté. Hommes et animaux partagent un simple enclos et vivent dans une sorte de symbiose, s'apportant mutuellement protection et nourriture. Ce n'est qu'au moment des récoltes que les jeunes hommes regagnent leur village afin d'aider leur famille.
Retour de terre inconnue - Kev Adams revient sur son expérience en Éthiopie.
Pour son ultime départ en terre inconnue, Frédéric Lopez s'est envolé aux côtés de Thomas Pesquet, direction le nord de la Colombie à la rencontre des Kogis. Ces indiens énigmatiques vivent sur le plus haut massif côtier au monde, dans la majestueuse Sierra Nevada de Santa Marta. Considérés comme les gardiens de la Terre, les Kogis se nomment eux-même les Grands Frères. Ils ont voulu adresser un message à tous ceux qui détruisent l'environnement et qui précipitent la fin du monde afin qu'ils respectent et protégent la Terre avant qu'il ne soit trop tard. Si la communauté des Kogis vit dans les traditions et l'entraide, elle mène le même combat que Thomas Pesquet pour la sauvegarde de notre planète.
Retour de terre inconnue - Thomas Pesquet revient sur son expérience en Colombie.
Sur les contreforts indiens de l’Himalaya, les Van Gujjar survivent grâce à leur élevage de buffles depuis des siècles. Aujourd’hui, leur mode de vie est menacé. L’acteur et réalisateur Franck Gastambide s’envole à leur rencontre. Un choc culturel qu’il n’est pas près d’oublier.
Retour de terre inconnue - Franck Gastambide revient sur son expérience dans les montagnes de l'Himalaya en Inde.
Raphaël de Casabianca s'envole avec Estelle Lefébure direction le nord du Kenya où ils vont rencontrer trois femmes exceptionnelles au sein de la communauté des Samburu. Salehan, Dariah et Ritay ont choisi de quitter les savanes arides pour aller vivre à 2 500 mètres d’altitude pour s'installer sur un plateau fertile. Elles ont construit leur maison, gèrent la vie de la famille, veillent sur leurs enfants, s'occupent des jardins et partent vendre le fruit de leur collecte à deux jours de marche du village. Chez les Samburu, les femmes représentent le coeur de la communauté. Sans jamais se plaindre de leur condition, les trois amies se battent avec force et humour pour faire évoluer leur quotidien.
Retour de terre inconnue - Estelle Lefébure revient sur son expérience au Kenya.
Nawell Madani s'envole vers la Mongolie aux côtés de Raphaël de Casabianca pour un voyage en terre inconnue. L'humoriste belge débarque par -25 degrés chez des éleveurs de yacks, au coeur des montagnes du Khangaï. Après trois jours de voyage, elle fait connaissance à 2500 mètres d'altitude avec Zolbayar et sa famille. Durant deux semaines, Nawel va partager leur quotidien et découvrir leurs traditions ancestrales. Zol et sa femme Okhino se battent au quotidien pour leurs cinq filles et leur petit dernier Tagui, sur qui repose le maintien de la tradition. Malgré les difficultés, ils aiment passionnément leur vie.
La dépression de Danakil, au nord-est de l'Ethiopie, est désertique et austère, hérissée de volcans. Raphaël de Casabianca s'y rend avec le chanteur Vianney, à la rencontre du peuple Afar, des nomades éleveurs, mais aussi bâtisseurs, qui ont trouvé, dans les entrailles de la terre, l'une des méthodes de survie les plus extraordinaires au monde. La réputation de ce peuple est à la hauteur de l'austérité de leur région. Les Afars sont connus pour être de farouches guerriers. Une population rebelle et insaisissable, qui façonne depuis des milliers d'années un maquis isolé. Et aujourd'hui, la modernité tape à la porte de leur sanctuaire.
Chez les Vézo, tout le monde est pêcheur, et ce dès l'enfance. Depuis des générations, ils dépendent de l'océan pour leur survie. Chaque année, sur leurs frêles embarcations, certains pêcheurs bravent les eaux tumultueuses du canal du Mozambique. Ils s'installent pendant plusieurs mois sur un îlot, à plus de dix kilomètres au large des côtes de Madagascar. Tout juste un banc de sable sans végétation ni point d'eau. Il est pourtant le refuge de plusieurs familles. Ici, la pêche est particulièrement abondante. Sur cette île minuscule, Raphaël et Oli partagent le quotidien d'une communauté unie et bienveillante. Ils découvrent aussi une région aux paysages exceptionnels, où l'apparente douceur de vivre ne saurait faire oublier la rudesse d'un quotidien parfois difficile.
A 1 300 km du pôle Nord, dans le village autochtone le plus septentrional de la planète, Jarry et Raphaël de Casabianca rencontrent des familles du peuple Inughuit. Des communautés autrefois nomades, dont certaines continuent de perpétuer les traditions ancestrales. Les Inughuit sont un peuple rare. A peine 700 âmes, blotties à la pointe nord-ouest du Groenland. Lointains cousins des Inuits du Canada, les Inughuit occupent un territoire rude, d'une beauté à nulle autre pareille, où plus aucune route ne mène. Dans cet environnement entre terre et glace, Jarry et Raphaël de Casabianca rencontrent des chasseurs qui ont fait le choix de perpétuer des traditions ancestrales. Par fierté pour leur culture et par conviction qu'il s'agit du seul moyen de survivre sur ce territoire particulièrement hostile.
