Julie Lescaut est commissaire, tout juste nommée en banlieue. Avec ses 24 "en tenue" et ses neufs civils, pour gérer l'ordre public elle devra prouver très vite qu'elle fait le poids...
Le viol au masque noir a encore frappé... Provocation ou hasard? C'est une femme agent du commissariat des clairières qu'il vient d'envoyer à l'hôpital. Julie part en guerre...
De nombreux drames ont lieu dans un hypermarché situé dans une banlieue chaude. Tout commence par le suicide d'une jeune vendeuse. Dans la foulée, une autre employée du même magasin porte plainte pour harcèlement sexuel et licenciement abusif. Une enquête est ouverte, mais personne ne semble avoir rien vu ni entendu, y compris le délégué syndical. Des menaces de mort sont adressées au sous-directeur qu'on retrouve, peu après, assassiné. L'affaire se complique encore avec la découverte d'un autre cadavre : celui du directeur adjoint, Le Herpeur. Quelqu'un a visiblement décidé de faire le vide, mais qui est-ce ?
Un routier est retrouvé poignardé dans son camion sur un parking d'autoroute. Julie et ses acolytes pensent avoir trouvé le coupable mais l'affaire s'avère bien plus complexe...
Escroquerie et mensonges: c'est le quotidien de Julie et de ses hommes. Une amie d'enfance de Julie est assassinée: qui a bien pu commettre un tel crime?
Un bébé qui disparaît, des parents muets... Julie et ses hommes mènent l'enquête...
Après l'accident mortel d'une de ses fonctionnaires qui provoque l'émotion dans son commissariat, Julie Lescaut doit résoudre deux énigmes: retrouver le responsable du drame et enquêter sur le meurtre d'une animatrice d'un réseau de minitel rose. Au fur et à mesure des investigations, les affaires semblent se recouper.
Un adolescent est retrouvé mort dans l'enceinte du lycée où il étudiait. Meurtre, suicide ou accident ? Julie Lescaut se trouve plongée dans une enquête difficile, se heurtant à la fois aux élèves et à certains professeurs.
Julie Lescaut est confrontée à un problème familial, la fugue d'un père et son fils après un jugement de divorce, le tout sur fond de meurtres dans les milieux asiatiques de la ville.
Julie Lescaut est amenée à enquêter à Cologne, en Allemagne, suite à un meurtre perpétré dans son district.
Une jeune femme, Nicole, préparer un souper en tête-à-tête chez elle, quand elle est assassinée par un inconnu...
Une folle rumeur court dans la ville : un maniaque aurait assassiné plusieurs adolescentes. L'un des cadavres se trouverait à la piscine municipale. Très vite, Julie Lescaut constate que la rumeur n'est pas fondée. Mais il est trop tard. Un vent de panique a saisi Les Clairières et un jeune métis de 18 ans, Stéphane Marti, est accusé par la population de trois meurtres imaginaires. Afin de calmer les esprits, Julie convainc la population que tout ceci n'est qu'une fausse rumeur. Hélas, le lendemain, on découvre le cadavre d'une adolescente flottant dans l'eau de la piscine. Julie doit plus que jamais se montrer efficace et trouver le coupable avant que la violence ne s'empare de la ville. Dépêché sur place pour redynamiser le commissariat de Julie, l'inspecteur Bellamy, jeune et arriviste, pousse Julie à hâter la besogne et à déférer Stéphane au vu de certains indices qui semblent accuser le jeune métis. Mais Julie ne l'entend pas de cette manière. Entre une Julie soucieuse de protéger un bouc émissaire et un Bellamy désireux de plaire à ses supérieurs, la tension va monter.
Après avoir mené à bien l'arrestation d'un mage escroc dans des circonstances rocambolesques, Julie Lescaut s'apprête à rejoindre sa famille pour le week-end. Peu de temps avant son départ, Sarah, la fille de Julie, l'appelle pour lui annoncer qu'elle vient de découvrir un cadavre. Il s'agit du propriétaire d'un magasin de location de cassettes vidéo. Julie est immédiatement chargée d'enquêter. Entretemps, elle apprend la libération du mage pour vice de procédure. Comble de malchance, c'est Paul, son ancien mari, que le mage a choisi pour avocat. Tandis qu'une menace de révocation pèse sur Julie, le cadavre du vidéo-club révèle bien des secrets...
Julie vit une nuit bien agitée. Tout d'abord, le commissariat des Clairières l'avertit de l'évasion d'un dangereux malade mental. Le fuyard avait été condamné pour le meurtre d'une petite fille, mais ses troubles psychiques graves au moment des faits, lui avaient évité la prison. Julie apprend ensuite que son ex-mari, Paul, un avocat de grande renommée dont elle est restée très proche, vient d'être victime d'un grave accident de voiture, causé volontairement par un tiers. Paul se trouve dans un état critique. Un troisième fait, enfin, lui est rapporté : le vol d'une guillotine dans un musée. Pour Julie, et aussi étrange que cela puisse paraître, les trois événements pourraient bien être liés...
Tandis que Sarah, la fille aînée de Julie part pour une soirée baby sitting, une jeune femme du nom de Linda se fait étrangler non loin de son lieu de travail.
Parce qu'un inconnu s'amuse à brouiller les fréquences radio utilisées par la police, une équipe arrive trop tard sur les lieux d'un accident mortel. La chose est d'autant plus regrettable que les témoins sont formels : le chauffard s'est particulièrement acharné sur sa victime. Vu les circonstances, Julie est convaincue qu'il s'agit d'un meurtre avec préméditation. La personnalité de la victime la laisse songeuse. Blanchet était-il bien le cadre supérieur de haut vol, unanimement apprécié, qu'il semblait être, ou un triste sire porté sur le harcèlement sexuel ? Plus son enquête avance, plus Julie soupçonne que le meurtre a ses racines au sein de son commissariat...
Une nouvelle année scolaire commence, aux Clairières comme ailleurs. Les élèves de l'école Sainte-Agathe, une prestigieuse école préparatoire, organisent le traditionnel bizutage. Mais cette fois-ci, le rite d'initiation tourne à la tragédie : un nouveau venu, Marc Sorel, est retrouvé mort dans le dortoir des «première année». Le commissaire Julie Lescaut et son équipe entament leur enquête sans tarder. Les couloirs feutrés du respectable établissement n'ont bientôt plus de secrets pour eux. Et ils en découvrent de belles. L'administration locale voudrait que l'enquête reste discrète, même si la quête de la vérité doit primer. Julie se montre compréhensive et inflexible à la fois...
Julie Lescaut et son nouvel inspecteur sont chargés d'enquêter sur le décès d'un jeune comptable disparu depuis trois jours, retouvé mort sur une voie ferrée. Ce dernier a laissé une lettre de suicide et tout laisse à penser qu'il s'est jeté sous les roues du train mais sa femme ne peut croire au geste désespéré de son époux.
Julie Lescaut doit faire face à de faux policiers qui agressent régulièrement des personnes âgées à leur domicile pour les dépouiller de leurs économies, mais aussi à Marc Lefranc, adjoint au maire élu depuis peu. Celui-ci profite de la situation pour tenter d'imposer une police municipale qui viendrait concurrencer le service de Julie.
Difficile retour de vacances pour Julie Lescaut qui doit affronter une prise d'otages au sein de son propre commissariat, prise d'otages à laquelle sont involontairement mêlés ses propres enfants.
Julie Lescaut passe la frontière suisse pour mener l'enquête sur une série de meurtres mystérieux. A Genève, elle fait équipe avec un jeune inspecteur, Frescobaldo.
Louis Marceau, adolescent adopté, se pose des questions sur ses origines. Sarah Lescaut, fille aînée du commissaire et camarade de classe, lui conseille de se renseigner auprès de la DDASS s'il veut vraiment connaître l'identité de ses parents. Peu après, on appelle le Commissaire Lescaut : un homme, tué d'une balle dans la poitrine, a été découvert dans un bureau de la DDASS. Le dernier dossier consulté encore ouvert, est précisément celui de Louis Marceau.
Nous plongeons en pleine fête foraine pour cette nouvelle enquête de Julie et de son équipe.
Julie Lescaut, la commissaire, est sur une affaire de meurtre d'un jeune homme, Jacky, membre d'un groupe connu de la police : les FPC. Le divisionnaire présente à Lescaut le commissaire Coster en mission d'étude 3B, pour bandit bande banlieue. Elle va s'installer dans le commissariat, avec ses hommes, au grand déplaisir de Lescaut.
En enquêtant sur la mort d'une détenue, puis d'un médecin de prison, Julie découvre que le docteur Mournon utilise les prisonnières comme cobayes pour tester des produits anticancéreux.
Un commando masqué s'introduit de nuit dans le commissariat de Julie, assomme le planton, fouille les dossiers. Un homme en garde-à-vue intervient pour démasquer l'un des agresseurs, il est abattu. Le commando disparaît. Premier élément de l'enquête pour la commissaire Julie Lescaut : la balle qui a tué le seul témoin est une munition provenant d'une arme militaire. Le lendemain, un jeune appelé est tué devant sa caserne d'une balle en pleine tête. Là encore, la balle provient d'une arme militaire. Y a-t-il un lien entre ces deux affaires ? Julie Lescaut en est persuadée. Des hommes entraînés à des missions d'assaut comme ceux qui ont attaqué le commissariat et qui utilisent des munitions de guerre, où peut-on les trouver ? Dans une caserne. Mais enquêter auprès de l'armée va se révéler autrement plus ardu et inattendu que prévu. Pas simple, en effet, pour un flic, d'obtenir la collaboration des militaires et quand ce flic est une femme, c'est le parcours du combattant...
Julie Lescaut se retrouve sur la sellette suite à son intervention dans un hold-up où elle abat un forcené armé. Seulement l'arme de l'individu reste introuvable et Julie est soupçonnée d'avoir tiré sur un homme désarmé.
Julie Lescaut, la commissaire de choc, est perturbée par l'attitude de sa fille Sara en pleine période adolescente, lorsque le commissariat lui annonce un meurtre d'un homme dans une square.
A la suite d'une rave-party organisée par Sarah et ses copains, Julie Lescaut va devoir enquêter sur la mort d'un jeune homme et découvrir qu'une amie de sa fille est victime d'inceste. Boucler une enquête à la va vite devant de tels méfaits, n'est pas dans l'habitude du commissaire.
Julie Lescaut va devoir défendre N'Guma accusé à tort de meurtre. Le mobile serait les cinq millions de francs d'un cambriolage effectué par les victimes quelques années plutôt. Elle se retrouve face au commissaire Sylvère, ancien patron de Kaplan aux méthodes expéditives. Julie est aussi confrontée au retour de son ex-mari, Paul, malade du coeur, alors que Babou doit faire face à la violence du père de son camarade de classe Yann.
Alors que Julie et ses hommes procèdent à une arrestation musclée, Kaplan, blessé dans la bagarre, est sauvé par une belle inconnue. Sarah commence son stage dans une usine... Une des salariées se suicide à la pause de midi et, le lendemain, le contremaître qui l'a poussé à bout est retrouvé mort au parking.
Julie Lescaut et son équipe, N'Guma, Kapla, Motta, Leveil et la "petite nouvelle" Zora enquêtent sur la disparition d'Ahmed, le mari de Véronique, la femme de ménage du commissariat. Celui-ci, ouvrier en bâtiment, travaillait sur un important chantier financé par le Conseil Général. La société qui a remporté l'appel d'offres pour ce chantier est suspectée d'utiliser des travailleurs clandestins. Au cours de cette enquête officieuse, Julie va découvrir que plusieurs notables de la région sont impliqués dans cette affaire.
Une journaliste est assassinée au Grand-Hôtel des Clairières alors qu'au même moment s'ouvrent, quelques étages plus bas, les assises régionales, réunissant tout le gotha de la région. Julie démarre son enquête et apprend que la journaliste avait un amant occasionnel qui n'est autre que Darzac, le patron direct de Julie. Celui-ci ne nie pas cette liaison qu'il qualifie de "petite aventure sans landemain". Mais d'autres témoignages viennent infirmer cette version. En fait d'"amant occa sionnel", Julie découvre que Darzac et la journaliste se fréquentaient depuis deux ans. Ils auraient eu une violente dispute l'après-midi du meurtre au sujet de leur futur mariage...
Les Grandet, un couple de quadragénaires, ont été mystérieusement abattus à coups de fusil dans leur pavillon. David, leur fils âgé de seize ans, demeure introuvable. Il pourrait se trouver en danger. David est bientôt retrouvé. Il raconte qu'il a été témoin des meurtres et qu'il s'est enfui. Ce sont deux hommes qui ont froidement abattu ses parents. Jean Grandet était le directeur d'une société de surveillance employant des vigiles. Julie pense aussitôt à un éventuel règlement de comptes interne à l'entreprise. Elle ne tarde d'ailleurs pas à découvrir un homme qui ressemble trait pour trait au portrait-robot...
Au tribunal, une affaire mettant en cause de jeunes casseurs oppose violemment Julie Lescaut et les magistrats. Alors que le commissaire fête le départ de Leviel, Julie apprend que son ex-mari, Paul Lescaut, est recherché... Où est Paul ? En Malaisie ou en route vers la France ? Paul serait mort dans le crash du petit avion qui le ramenait vers Singapour. Choc affreux pour Julie et pour ses filles... La jeune femme découvre que Paul était recherché pour une escroquerie portant sur des millions de francs. Elle ne le croit évidemment pas et pourtant les preuves sont accablantes. Babou, elle, reste persuadée que son père est toujours en vie...
En plein déménagement dans un petit pavillon, alors que Sarah est en pleine élaboration de grève lycéenne et Babou soucieuse avant tout d'aider son grand ami Joseph à monter sa pizzeria, Julie se retrouve confrontée à la mort suspecte d'une jeune fille inconnue. C'est grâce à Kaplan, dont le fils est scolarisé dans une école pour surdoués, que les policiers retrouvent l'identité de la morte. Elle s'appelait Nathalie et travaillait comme économe au sein de la pension où son fils est inscrit. Julie Lescaut doit faire face à une enquête difficile, dans laquelle Kaplan se sent d'autant plus impliqué que son enfant est l'un des élèves de l'école...
Le cadavre d'une jeune Africaine est retrouvé sur le bord d'une route nationale. L'autopsie est formelle : la victime a été violée avant d'être percutée par un véhicule dont le chauffeur a pris la fuite. La jeune fille, fuyant son agresseur, a-t-elle été malencontreusement renversée par un automobiliste ou le violeur et le chauffard sont-ils un seul et même homme ? Quelle est l'identité de cette inconnue qui ne portait sur elle aucun papier et dont personne n'a signalé la disparition ? Telles sont les questions auxquelles les policiers doivent apporter des réponses. Un cliché pris par un radar va mettre Julie Lescaut et ses inspecteurs sur une piste : celle de Thierry Blanco, un homme dépressif dont la voiture est abîmée
Julie retrouve un ex en la personne de Boissier, le nouveau directeur du foyer de la P.J.J. (Protection Judiciaire de la Jeunesse). Les pensionnaires du foyer, situé dans un quartier résidentiel, sont une quinzaine d'adolescents qui, pour la plupart, ont un passé de délinquant. Les voisins acceptent mal leur présence, ce qui donne lieu à un certain nombre d'incidents. Un matin, l'un d'eux, Vignard, est retrouvé mort dans son jardin... alors qu'il avait giflé la veille une gamine du foyer. Face aux soupçons de Julie, Boissier défend "ses" gamins ("ce sont des gamins à problèmes mais pas des assassins") et affirme qu'il s'agit d'une machination. Qui pouvait alors en vouloir à Vignard ? Pourquoi manifestait-il autant d'animosité envers le foyer ? Avait-il intérêt à ce que le foyer déménage laissant ainsi le terrain libre pour une éventuelle opération immobilière ? Pressée par le procureur, Julie doit aller vite... alors que, les souvenirs aidant, elle est de plus en plus attirée par Boissier...
Un samedi soir, Franck, le petit copain de Sarah, se fait renverser alors qu'il se rendait en scooter chez Julie pour l'anniversaire de Babou. Le chauffard a pris la fuite mais un témoin a pu relever une partie du numéro d'immatriculation, ce qui permet d'identifier la voiture : elle appartient à un collègue de Julie, le commissaire Moulinier, qui l'a déclarée volée... quelques heures après l'accident. Cet accident, qui risque de laisser Franck handicapé à vie, n'est pas le seul problème de Julie en matière «automobile». Au même moment, elle découvre que des rodéos sauvages ont lieu de nuit dans une zone industrielle tranformée en circuit.
Jeanne, la petite amie de N'Guma, s'est suicidée dans un hôtel. Bien que choqué, N'Guma n'est pas si surpris; il la savait fragile. N'Guma décide de s'occuper de Florent, le fils de Jeanne. Les résultats de l'autopsie font apparaître que la jeune femme ne s'est pas suicidée, qu'elle a été battue et qu'elle est morte d'une hémorragie interne...
Souffrant d'un cancer incurable, Hugo Ravanelle, 17 ans, est découvert mort dans sa chambre d'hôpital. Malgré leur immense tristesse, Marc et Nathalie, ses parents, qui se trouvent être des amis de Julie, ressentent cependant un certain soulagement : la médecine ne pouvant plus rien pour leur fils, ils ne supportaient plus sa déchéance et les douleurs qu'il devait endurer. Mais une curieuse lettre anonyme vient soudain semer le trouble dans les esprits. En quelques mots, un corbeau laisse entendre à Marc et Nathalie que le décès d'Hugo n'est pas dû à une cause naturelle... Une autopsie est aussitôt effectuée et celle-ci est formelle : le jeune homme est décédé de l'injection d'un cocktail lytique, une drogue utilisée dans les cas d'euthanasie ! Les interrogatoires de tout le personnel du service de cancérologie ne donnent rien de probant, mais l'attitude curieuse d'une des infirmières, Morgane Briand, trouble malgré tout la police...
En réunion avec ses hommes, Julie termine sa journée de travail. Le téléphone sonne. C'est Sarah. Maman ? Ton père vient dîner à la maison ! Ce que Sarah et Babou ne savent pas, c'est que Julie n'a pas revu son père depuis plus de vingt ans. Ce qu'elles ne savent pas non plus, c'est que Marc Vernet est parti alors que Julie était encore gamine et qu'il a eu depuis une seconde fille, Marie, avec une autre femme. Ce que ni Julie ni ses filles ne savent pas, c'est que cette jeune femme, Marie, se trouve aujourd'hui en prison pour meurtre.... un meurtre dont, d'après son père et d'après son avocat, elle serait totalement innocente. C'est pour l'aider à le prouver que Marc vient voir sa fille aînée... Alors que Julie renoue - non sans une certaine appréhension - une relation avec son père qui l'a abandonnée, puis avec une soeur qu'elle ne connaît pas, un couple de restaurateurs des Clairières qui se faisait racketter, est retrouvé sauvagement assassiné dans sa cuisine, au grand dam de Kaplan qui assurait sa protection, tandis que dans le centre ville, une bande de pré-ados vandalisent les commerçants, menés par une redoutable chef de bande de treize ans. Répression ou prévention? Eternel dilemme, particulièrement épineux pour Zora, qui retrouve avec cette fille le souvenir d'une enfance pas toujours rose...
Alertée par un îlotier, Julie, aidée de ses hommes, arrête Jean Caillaux, bandit notoire, multirécidiviste et roi de l'évasion. Julie reçoit un concert de louanges de la hiérarchie et des médias sans goûter vraiment à ce genre de publicité. Les complices de Caillaux assistent, impuissants, à son arrestation mais se jurent de trouver un moyen de le libérer, quitte à s'attaquer même à la famille du commissaire...
Les cadavres de deux femmes éventrées sont retrouvés à quelques heures d'intervalle. Aux Clairières, on craint qu'il ne s'agisse d'un tueur en série. Pour agir rapidement, le procureur adjoint Mathilde Dorsay, psychocriminologue, vient en aide à Julie et ses inspecteurs.
Alors que Julie apprend par son patron, Darzac, qu'un nouvel inspecteur est muté aux Clairières, une jeune fille est retrouvée morte au pied de l'hôtel où elle était venue passer un casting. Tina était mannequin... S'agit-il d'un suicide ? Le médecin légiste est bientôt certain qu'il s'agit d'un meurtre. Qui pouvait en vouloir à cette ravissante jeune femme de dix-huit ans, adulée par sa mère ? Kaplan, qui fait équipe avec son nouveau collègue, s'aperçoit petit à petit que celui-ci a une vie beaucoup plus compliquée que ses états de service impeccables ne le laissaient entendre.
Près d'un foyer pour sans-abri, on retrouve un homme mort, le crâne défoncé. Son identité est inconnue. Son présent ou son passé est-il à l'origine de ce meurtre ? Julie et ses hommes enquêtent et mettent la main sur une bande de motards au comportement étrange. De son côté, Babou a fort à faire comme déléguée au conseil de classe pour défendre son amie, Pauline, en passe d'être suspendue de cours pour absentéisme chronique. Pour Julie, le mystère s'épaissit. Les motards emmènent N'Guma et Kaplan sur la piste d'un casse en peine préparation ; un deuxième meurtre au foyer vient compliquer la donne. Au commissariat, une nouvelle venue, enquêtrice-psychologue du ministère introduite par Darzac, sème la confusion.
Le petit Quentin Vanel, 6 ans, est retrouvé mort à proximité d'une voie ferrée. L'enfant ayant été victime d'une strangulation, tout laisse penser qu'il s'agit d'un crime de rôdeur ou de maniaque. Ses parents, Bénédicte Chambeau et Mathieu Vanel, sont effondrés. Dans leur désespoir, ils dévoilent devant Julie et ses inspecteurs toute la haine qui les oppose depuis leur divorce, quelques années plus tôt, en allant même jusqu'à se rejeter mutuellement la responsabilité du décès de leur fils.
Alors que Julie part enquêter sur un décès, Sarah et Babou entrent en cours. Vanessa, l'amie de Sarah, est appelée par le proviseur et revient en larmes... Son père, Jean-Luc Picard, comptable dans l'entreprise Dumayet, vient d'être retrouvé mort. Il se serait suicidé. Pourtant, Julie et le légiste ont des doutes... Vanessa, folle de douleur et de rage, découvre que sa mère avait un amant. Elle disparaît de la maison familiale. Le lendemain, on retrouve le patron de Picard, Dumayet, mort, une balle dans la tête...
Julie est témoin du braquage d'un convoi de fonds, au cours duquel un convoyeur est tué. Très vite, elle comprend que les malfrats ont bénéficié de complicités internes. Interrogé, le directeur de la banque accuse la société chargée du transport des fonds, Trans-Sécurité. Suivant cette piste, Julie apprend bientôt que Jeff, l'un des employés de cette société, a déjà été mêlé à une affaire semblable. Son complice de l'époque, aujourd'hui libre, n'hésite pas à l'accuser. Bien qu'un peu sceptique, Julie interpelle ledit Jeff. Voyant celui-ci les menottes aux poignets, une femme, l'épouse du convoyeur tué, tente de l'abattre à son tour. Interrogée par Julie, elle jette une lumière inattendue sur toute l'affaire...
Le cadavre d'un homme est retrouvé dans une chambre d'hôtel... Si tout laisse à penser qu'il pourrait s'agir d'une partie sado-maso qui a mal tourné, le vol de la carte de crédit de la victime pourrait lui plutôt accréditer la thèse du crime crapuleux. Julie et ses lieutenants orientent tout d'abord leur enquête sur la personnalité de la victime, un certain Michel Destrade. Sous une apparente vie de couple sans histoire, l'homme avait de nombreuses liaisons. Et c'est d'ailleurs sur une de ses maîtresses que les premiers soupçons de Julie vont se diriger. Mais cette piste va vite tomber dès lors qu'un second homme, Rémi Bellone, est retrouvé assassiné dans les mêmes étranges conditions. Les flics des Clairières vont alors découvrir que Destrade et Bellone avaient un point commun : ils ont tous deux appartenu, une dizaine d'années plus tôt, à un trio de Jazz amateur. Julie et son équipe se mettent en quête du troisième musicien qui composait ce trio, un certain Georges Rippert. Ayant été localisé par Julie, Rippert est terrorisé en apprenant la mort de ses anciens acolytes. Se sentant en danger, il révèle alors aux policiers le terrible secret qui l'unissait à Destrade et Bellone...
Kaplan rencontre une journaliste qui fait une enquête sur l'industrie chimique. Quelques heures plus tard, celle-ci est retrouvée morte chez elle dans des circonstances qui font penser à un cambriolage qui a mal tourné. Très vite, les soupçons s'orientent vers le frère de la victime, un ancien toxicomane. Thierry nie être allé chez sa soeur puis, conseillé par son avocat, maître Verdon, avoue finalement être l'auteur du cambriolage. Mais il jure à Julie qu'il n'a pas tué sa soeur et que ce n'est pas lui qui a volé l'ordinateur portable et l'agenda de cette dernière. Julie s'intéresse alors à l'objet de l'enquête de la victime jusqu'au moment où Thierry, aidé par son amie, s'évade de nuit du commissariat où il était maintenu en garde à vue. Après une course-poursuite mouvementée où Julie et maître Verdon manquent d'être grièvement blessés, Thierry est de nouveau arrêté. Pour Julie, il va devenir de plus en plus difficile pour lui de prouver son innocence...
Alors que Julie s'entraîne avec ses hommes au stand de tir et prépare un week-end de rêve avec son ami de coeur, l'avocat Pierre Verdon, un drame éclate aux Clairières. Un voyeur assiste ou - croit assister - à un viol suivi d'un meurtre. Julie intervient rapidement. Elle se rend chez la jeune femme agressée qui semble parfaitement en forme et nie l'agression. Deux jours plus tard, on la retrouve morte. Le voyeur témoin aussi. Quand Julie croit enfin tenir le coupable, celui-ci s'en tire avec un alibi apparemment indiscutable. Qui tue ? Qui protège qui et pourquoi ? Enquête difficile, presque impossible, qui mobilise toutes les énergies... Oublié le week-end de rêve. D'autant que Sarah, à l'étroit dans son studio, a décidé de faire sa pendaison de crémaillère chez sa mère... Fête qui dégénère bientôt en catastrophe grâce au savoir-faire du fils de Verdon, l'amant de Julie...
Depuis plusieurs années, Julie occupe un poste de commissaire de police dans la banlieue parisienne, épaulée par une équipe principalement masculine. Divorcée de son mari avocat, elle élève ses filles, Sarah et Babou, adolescentes qui lui causent parfois beaucoup de soucis. Tout en essayant de leur donner la meilleure éducation, Julie poursuit ses enquêtes de façon énergique et efficace. Brémont, un photographe, est retrouvé mort à son studio. En remontant au propriétaire d'un bijou disposé dans le coffre de la victime, Julie interpelle Françoise Fiozal, celle-ci avoue le meurtre, mais le mari de Françoise, révèle à Julie que son épouse a toujours préféré les femmes...
Depuis quelque temps, des pirates de la route agressent des automobilistes pour voler leurs voitures. Sur une route isolée, ils guettent leur proie, de préférence des femmes ou des personnes âgées, qu'ils intimident en faisant preuve d'une violence extrême. La fréquence des agressions des pirates augmente et crée rapidement un climat de psychose. Sarah, stagiaire dans un cabinet d'avocats, s'est vu confier, la veille, la voiture de son patron pour lui faire diverses courses. Sur une route déserte, elle est violemment agressée par deux hommes cagoulés qui s'emparent du véhicule et la laissent en état de choc. Avertie par une automobiliste, Julie intervient avec ses hommes.
Suite à un appel au secours téléphonique en pleine nuit, Héroux et une jeune collègue se rendent au domicile d'un bijoutier. Dès leur arrivée, la jeune femme est tuée par un individu cagoulé qui prend la fuite. Prévenue, Julie se rend sur place et découvre dans la maison la femme et la fille du bijoutier ligotées et bâillonnées...
Franck Carpentier, le patron d'une petite agence de voyages est assassiné alors qu'il déjeunait seul dans un parc de la ville. Julie et ses hommes mènent l'enquête. Ils découvrent que sous la façade du bon père de famille, Carpentier gérait une gigantesque escroquerie aux locations de vacances. L'assassin est-il une de ses trois-cents victimes ? Julie s'intéresse en particulier à Jean-Yves Lacroix, un chômeur qui se consacre depuis deux ans à apprendre le droit et à rassembler des preuves contre Carpentier...
Une nuit, alors qu'elle rentre chez elle, Sarah sauve la vie d'Albane, une étudiante qui a voulu mettre fin à ses jours. Elles se lient d'amitié. Le lendemain matin, Darzac demande à Julie d'enquêter sur la disparition suspecte de François Darel, un chef d'entreprise. En retraçant son emploi du temps, les policiers découvrent que le dernier endroit où il a été vu est un club dirigé par une certaine Roselyne qui fait, vraisemblablement, travailler des jeunes femmes comme prostituées...
La police reçoit un appel téléphonique d'une jeune femme affolée. Celle-ci, victime d'un chauffard, est dans le fossé et dit être bloquée dans son véhicule. Julie et son équipe partent aussitôt à son secours et la retrouvent, finalement, étranglée à quinze kilomètres du lieu de l'accident. Les policiers retrouvent rapidement le chauffard qui devient leur premier suspect. Mais ils constatent bientôt qu'il n'a rien à voir avec l'assassinat de Sandrine Voizot...
Tandis que Julie entame une enquête sur l'assassinat d'Anne-Laure de Clavel, une jeune fille de dix-sept ans, Babou est victime d'un grave malaise. Emmenée à l'hôpital, elle tombe dans le coma. D'après les médecins, celle-ci aurait absorbé de la drogue ! La nouvelle plonge Julie dans l'angoisse et la culpabilité, d'autant que Babou est loin d'être tirée d'affaire...
Julie enquête sur le meurtre de Vincent Darras, un avocat renommé. Victime d'une blessure par balle, Darras est mort quelques heures plus tard à l'hôpital. L'enquête s'oriente rapidement vers Philippe Marsollat, un ancien taulard, employé comme jardinier chez Vincent Darras et sa femme Florence. Marsollat nie en bloc mais apprend à Julie que le couple Darras avait des problèmes conjugaux. Kaplan réalise qu'il connaît Florence Darras ; c'est l'ex-femme de son ami Thierry Servier, un ancien flic de la brigade de déminage, avec qui elle a eu une petite fille, Alice. Julie découvre que Florence Darras était sûrement battue par son mari. Mais quand les policiers veulent l'interroger, Florence a disparu avec Alice. Coincée par la BAC dans un parking aérien, Julie parvient à la convaincre de se rendre. Florence avoue avoir tiré sur son mari : il la battait régulièrement. Ce matin-là, elle a eu peur qu'il la tue et elle s'est défendue avec l'arme que lui avait donnée son père. L'affaire paraît bouclée. Mais Kaplan n'est pas de cet avis. Il soupçonne Florence de manipuler la police et d'avoir prémédité l'assassinat de son mari. Selon Kaplan, Florence avait déjà abusé le juge aux affaires familiales, pendant son divorce avec Thierry Servier. Elle avait raconté que Servier la battait pour obtenir la garde exclusive d'Alice. Or, Kaplan en est convaincu, son ami Servier ne battait pas Florence... Le doute s'installe chez Julie. Florence a-t-elle délibérément tué son mari et tenter de faire passer son acte pour de la légitime défense ? Julie a 24 h pour suivre cette piste... qui s'avère vite intéressante. Julie découvre en effet que Florence Darras avait un amant, qui n'est autre que Pascal Nauroy, son propre avocat et surtout, l'associé de son défunt mari ! En outre, Florence va toucher une coquette assurance-vie... L'étau se resserre autour de Florence et de Nauroy qui pourtant clament tous deux leur innocence. Mais un coup de thé
Un matin, alors qu'il accompagne son amie Ariane au lycée où elle enseigne, N'Guma, aidé du proviseur Baylau, empêche deux types cagoulés d'agresser un prof en pleine classe. Quelques heures plus tard, Baylau est enlevé à la sortie du lycée sous les yeux d'Ariane. Les hypothèses d'un lien avec l'incident du matin ou d'une vengeance d'élèves récemment sanctionnés sont vite écartées et, faute de signe des ravisseurs, l'inquiétude grandit d'heure en heure#Le lendemain, la camionnette ayant servi à l'enlèvement est aperçue par une patrouille sur un terrain vague alors qu'un jeune type, Thierry, s'apprête à l'incendier. Thierry prend la fuite en scooter...
Julie Lescaut est chargée de la sécurité d'un palais de justice lors d'un procès important. Lerner, un criminel multirécidiviste, doit y répondre de ses nombreux méfaits. Au milieu de l'audience, le malfrat brandit une arme et s'enfuit en emmenant plusieurs otages, parmi lesquels son avocate Chloé Donatti. Bien que Julie se soit plainte à plusieurs reprises du manque de moyens mis à sa disposition, elle est tenue pour responsable de l'incident. Avec son équipe, elle tente de découvrir comment Lerner a pu se procurer une arme et apprend qu'un gardien de prison joueur et instable lui avait déjà rendu plusieurs services, lui fournissant notamment un téléphone portable...
Sur la route menant au commissariat, Julie prend en chasse une voiture volée par deux adolescents. Quelle n'est pas la surprise de Julie de découvrir dans le coffre de la berline un cadavre, celui de Fabien Lannée, le propriétaire de la voiture. Tout désigne Ben et Kamel, les deux adolescents. Ils auraient tué Fabien Lannée dans son parking pour lui voler sa voiture. Mais la piste s'étiole rapidement pour s'orienter vers une affaire bien plus épineuse...
Alors que Julie entame sa journée de travail, un enfant appelle au commissariat... Il ne délivre aucun message, mais un autre appel confirme qu'il se passe quelque chose de très grave à son adresse. Julie et ses hommes découvrent une scène de carnage... et un petit garçon, âgé de six ans, qui a réchappé au massacre de ses parents. L'enquête est difficile et éprouvante, d'autant que Julie voit le petit orphelin, rendu muet par le traumatisme, emmené dans un foyer. Qui étaient ses parents ?
Après avoir été recueillie errante par Julie, Céline, une jeune fille de dix-sept ans parvient à se suicider en se jetant d'une fenêtre du commissariat. Julie comprend que l'adolescente avait été violée la veille, après avoir absorbé à son insu du GHB au club la Marina. Principal suspect : Steller, un voyou, trafiquant de drogue, second du patron de la Marina. Julie veut interpeller ce suspect mais sa hiérarchie l'en empêche et la contraint à collaborer avec une brigade des stups sur le point d'arrêter toute la bande de la Marina. Kaplan est choisi pour s'infiltrer auprès du groupe, avant la préparation du braquage d'un convoi transportant de la cocaïne destinée à être détruite. Mais l'opération est un fiasco. Bravant les ordres de Julie, Kaplan - qui se sent responsable de la mort de Céline - décide alors de retourner auprès des truands. Tandis que Julie cherche à récupérer Kaplan, celui-ci est identifié et enlevé. Pour Julie, une course contre la montre s'engage alors pour sauver son fidèle lieutenant...
Une fusillade vient d'avoir lieu aux Clairières. Un homme en moto a tiré sur Antoine Rousseau, le directeur de Logitek Editions, une société d'édition informatique. L'homme d'affaires est indemne mais son garde du corps a été tué. Julie et N'Guma s'aperçoivent avec horreur que celui-ci n'est autre que Philippe Hétier, le compagnon de Christelle. Tout le commissariat est en émoi. Christelle prend d'autant plus mal la nouvelle qu'en se rendant à l'Institut médico-légal, elle découvre que Philippe était marié à Céline Hétier. L'homme avec qui elle vivait depuis trois ans menait donc une double vie !
Julie et son équipe mène deux enquêtes en parallèle. La première, l'enlèvement d'un juge d'instruction:le juge Staniak. La seconde sur les meurtres de deux dealers : Zinder et Allouche. En enquêtant sur chacune des affaires, les policiers vont découvrir un lien entre les deux dealers et le juge Staniak. En effet, un an plus tôt, Zinder et Allouche avaient été soupçonnés par le juge Staniak d'être impliqués dans le braquage sanglant d'une bijouterie. Cependant bien que persuadé de leur culpabilité le juge Staniak avait curieusement prononcé un non lieu à leur encontre. Finalement en creusant un peu plus, Julie et son équipe vont découvrir que si le juge a libéré ces deux voyous c'est qu'une terrible pression avait été exercé sur lui.
Réveillés en pleine nuit par un appel de Christelle, Julie et Verdon se rendent au poste pour récupérer Romain, intercepté sur la voie publique en état d'ivresse. Julie n'a pas le temps d'en connaître les raisons, elle doit se rendre au belvédère où deux jeunes mariés ont été retrouvés, incendiés dans leur véhicule. L'homme, Lucas Devers, jeune banquier, est mort, et la jeune femme, Marina Sakovski, est transférée à l'hôpital, à l'unité des grands brûlés. Les premiers éléments d'enquête s'orientent du côté de Marina, qui exerce la profession de mannequin, sous la coupe d'un certain Sébastien Revel, un agent possessif et jaloux, au profil trouble. Ce dernier se défend par un alibi en béton, exhortant Julie et son équipe à chercher du côté de ses nombreux admirateurs, en particulier un certain Romain Verdon. Romain est innocent : d'ailleurs, il était au Commissariat des Clairières à l'heure du crime. Mais Julie a tant de peine pour l'adolescent, qui connaissant à peine son premier chagrin d'amour, va devoir être confronté trop tôt, au deuil, Marina ayant succombé à ses blessures. Julie déterminée à arrêter le coupable de ce crime atroce, découvre bientôt dans les affaires de Marina, une photo inquiétante de son époux Lucas, prise à son insu, et accompagnée d'une menace de mort. Cette pièce à conviction présente des empreintes digitales qui permettent d'identifier un sérieux suspect, Damien Leroux : un psychopathe notoire, doté d'un passif familial lourd, récemment libéré de prison dans des circonstances louches. Alors que la circonscription voisine signale l'assassinat d'un autre jeune couple, brûlé dans des conditions similaires, Julie craint avoir affaire à l' uvre d'un tueur en série, mais peine à trouver un mobile cohérent, et surtout, un lien entre les victimes. Une idée prend forme dans l'esprit du Commissaire Lescaut : et si ce fou en liberté faisait l'objet d'une manipulation, étant le bra
Ce matin-là, N'Guma reçoit la visite impromptue de Lorraine Levan, sa compagne. Lorraine semble agitée : son amie Elise Dampierre, sage-femme à la clinique Renoncourt, avec qui Lorraine travaille, a disparu. N'Guma assure Lorraine qu'il va retrouver Elise et qu'elle n'est pas obligée d'annuler ses vacances. Mais moins d'une heure plus tard, le corps sans vie d'Elise Dampierre est repêché dans un canal. La thèse du suicide est très vite écartée au profit de celle du meurtre. Julie et ses hommes apprennent qu'Elise était séparée de son mari, Hugo Dampierre, à la suite d'un drame familial. Les Dampierre avaient en effet perdu leur petit garçon de 4 ans, et Hugo reprochait à Elise d'être en partie responsable de sa mort. Mais Dampierre n'a pas tué sa femme : il a un alibi en béton...
Laure, une femme âgée d'une trentaine d'années, est retrouvée étranglée dans le parking souterrain de son immeuble. L'état de ses vêtements et une trace d'ADN masculin laissent supposer que l'on a tenté de la violer. Interrogée par Julie, la soeur de la victime accuse Zinelli, l'ancien petit ami de la victime. Celui-ci n'acceptait pas qu'elle l'ait quitté et la harcelait. Si Zinelli n'a pas d'alibi, l'analyse ADN le met hors de cause...
Julie enquête sur le double meurtre d'une fille et de sa mère, Mélanie et Patricia Derhuns, cette dernière ayant désigné comme coupable son compagnon, Larcher, avant d'être tuée. Jean-Luc Derhuns, le père et ex-mari des victimes, est un homme d'affaires richissime. Tout en faisant mine de collaborer avec Julie, il propose à Motta un million d'euros pour supprimer Larcher lors de son interpellation, soi-disant en état de légitime défense...
Une jeune femme meurt, étranglée. Julie apprend que la veille, celle-ci a été victime d'une tentative de viol, mais elle s'est enfuie avant de signer sa plainte... Les deux affaires sont-elles liées ? Très vite, Julie et ses hommes trouvent le comportement du procureur, monsieur Fabre, étrange. En l'absence de Julie, il libère même un suspect... Lorsque le laboratoire scientifique découvre une empreinte du procureur sur le corps de la victime, l'affaire prend une toute autre dimension. Malgré les preuves qui s'accumulent et le silence de Fabre, Julie ne parvient pas à croire que le chef du parquet puisse être coupable.
Prévenus par un appel anonyme au commissariat des Clairières, N'Guma et Alice, en patrouille, se rendent sur un chantier de construction, où ils se font tirer dessus par un toxico qui squatte les lieux En remontant à l'origine de l'appel, Julie et ses hommes tombent sur les coordonnées personnelles de Michel Fribourg, un spécialiste de manuscrits anciens auteurs des best-sellers historiques. Julie et son équipe découvrent que Michel Fribourg, quinquagénaire tranquille vient de se remarier avec Lisa, une fille de trente ans de moins que lui, stagiaire à la bibliothèque Richelieu où il travaille. Malgré les rumeurs, le couple est heureux et attend même un enfant. Un bonheur qui semble faire le malheur de ex-femme, Clémence Mailleul, qui a poussé la procédure de divorce en guerre de tranchées... Quel est le rapport entre Grégoire Kinovitz, un petit dealer minable, et Michel Fribourg, éminent chercheur en manuscrit anciens ?
Alors que la fille au pair destinée au petit Pavel arrive chez Julie, une jeune femme, Laurence Nobel, fait une tentative de suicide... Elle vient d'apprendre qu'elle a provoqué la mort d'une fillette dans un accident de voiture. Julie l'envoie à l'hopital. A peine sortie, la jeune femme va voir son ex-amant et le pousse par la fenêtre. Accident, meurtre ou affabulation ? Laurence l'a-t-elle vraiment tué ou bien couvre-t-elle d'autres coupables ? A la maison et à la surprise de Julie, la fille au pair s'avère être un garcon... Simple erreur administrative ou usurpation d'identité ? Au commissariat, Héroux se trouve au coeur d'une bien étrange affaire d'escroquerie et de prostitution, que Motta entreprend de démèler, tandis que Julie s'efforce de comprendre le drame de Laurence, une femme blessée incapable de surmonter sa culpabilité.
Meurtre d'un chauffeur de taxi au lac des Clairières. La victime, Jean-Pierre Gaudel, est aussi le patron de la compagnie "Taxi Clairières". C'est un choc pour sa femme, Isabelle Gaudel, qui travaillait à ses côtés. Julie découvre que Gaudel était un homme respecté par ses employés, acquis à leur cause. Depuis quelques mois, l'image des chauffeurs de taxi est salie par des "clandestins", des faux chauffeurs ne possédant aucune licence, mais dupant les clients en utilisant des voitures maquillées en taxis. Ronald Berthelot est à leur tête et Jean-Pierre Gaudel avait promis de s'en débarrasser L'autre piste suivie est delle de Blandine Solano, la seule femme chauffeur de taxi de la compagnie. C'est aussi la soeur de Christelle. Julie découvre que Blandine Solano a été licenciée après s'être endormie au volant, provoquant un accident de la circulation. Blandine écorne l'image trop parfaite de Gaudel : elle subissait du harcèlement moral. Quant au couple Gaudel, était-il si solide que cela ?
Julie enquête sur le meurtre de Gérard Mayani, un policier retraité, retrouvé assomé chez lui. Depuis la mort de sa femme, Mayani vivait replié sur lui-même mais avait récemment repris contact, après une brouille de plusieurs années, avec Clémence, sa fille unique. Interrogée par Julie, elle ne voit cependant pas qui pouvait en vouloir à son père. La dernière personne à avoir vu la victime est un jeune plombier venu faire une réparation chez Mayani le jour du merutre mais, là encore, son témoignage n'apporte pas grand-chose. En enquêtant, Julie apprend que Mayani avait, avant de quitter la police, dénoncé les violences d'un de ses jeunes collègues et qu'à la suite de ses révélations, le collègue en question (un certain Barel) avait été révoqué et envoyé derrière les barreaux...
Julie change d'univers et opère un nouveau virage... familial, professionnel et géographique. Le commissaire Lescaut se fait muter et intègre une DPJ à Paris où se côtoient plusieurs brigades. Un monde d'hommes et de rivalités où Julie doit faire sa place et trouver la confiance de sa nouvelle équipe.
Julie et son équipe enquêtent sur la mort de maître Morin, avocat dans le cabinet duquel Sarah venait d'être recrutée. Très vite, il apparaît que Morin, marié et père de deux enfants, préférait secrètement la compagnie des hommes et qu'après une longue liaison clandestine avec l'un de ses clients il avait recours depuis peu aux services de prostitués. Julie apprend aussi que Morin avait des "problèmes" avec Thibault, son fils de 19 ans. Parallèlement à l'enquête, Sarah se retrouve à défendre Valérie, la jeune femme d'un truand ayant tué un flic.
Un homme s'introduit sans bruit dans un très bel appartement. Avec des gants en plastique, il commence à entasser dans un sac les bibelots qui ont le plus de valeur et se dirige vers la chambre à coucher comme s'il connaissait les lieux. Une jeune femme dort seule. La main gantée se pose brutalement sur sa bouche. L'inconnu lui murmure à l'oreille : "tu cries, tu bouges, tu meurs." Pour Julie, un fil rouge lie ce viol à plusieurs autres commis par un même "pointeur" spécialisé dans les femmes seules, brunes, belles et riches. Au chapitre de la vie privée, Sarah, la fille de Julie, soumet sa mère à un nouveau dilemme professionnel, et l'ami et ancien collègue de Julie, Motta, vient lui demander conseil : son ex-femme se drogue et est aux prises avec son dealer. Que doit-il faire ? Julie tente de les aider, malgré les pressions qui s'accumulent sur elle. Pourquoi ce violeur en série a-t-il tué deux jours plus tôt Emma, une jeune masseuse blonde et pas particulièrement riche? Mais est-ce vraiment lui le meurtrier ? Pourquoi Laure Durieu, l'occupante de l'appartement dans lequel on a trouvé la morte, refuse-t-elle de répondre aux questions des policiers, alors qu'elle est mise hors de cause ? Qui ment, qui manipule ? Qui sont les prédateurs ?
Louise Dumont, une adolescente de 14 ans, disparaît à la sortie de son lycée. Poussée par la conviction de son père qui ne croit pas à une simple fugue, Julie Lescaut établit qu'il y a bien eu enlèvement. Une alerte est alors lancée, relayée par tous les moyens de communication à disposition. Julie prend la tête de cette recherche angoissante, où statistiquement chaque minute compte pour la survie de l'enfant. Deux pistes sont donc privilégiées : un rapt avec demande de rançon, ou le crime d'un rôdeur sexuel. Sans dormir, mettant totalement de côté leur vie privée, l'équipe de la DPJ, sous pression constante, va mener cette enquête au gré de ces deux possibilités. Au final, c'est une troisième piste qui les mènera à la vérité.
Une station-service est attaquée en pleine nuit, et l'étudiant qui tenait la caisse est tué. Le braqueur a pris la fuite, mais il n'a pas hésité à menacer une jeune fille, témoin du drame, qui s'est volatilisée. Julie doit la retrouver avant le braqueur, Kevin Valon, un délinquant récemment sorti de prison. Les policiers découvrent également que Kevin a utilisé une ancienne arme de la police. Ils mettent ainsi au jour un vaste trafic d'armes qui ont échappé à la destruction. Entretemps, Julie et son équipe retrouvent Roxane, la jeune fille, et la placent sous protection policière. Mais elle prend la fuite, tandis que l'enquête de Julie progresse à grands pas...
Une jeune fille court dans la nuit, pieds nus, désespérée... On la retrouve morte au petit matin. Un SDF est arrêté, bientôt relâché... Et l'autopsie confirme son innocence : Laure n'a pas été agressée, mais empoisonnée. Empoisonnée ? Ce n'est plus un meurtre de hasard, c'est un assassinat, forcément prémédité. Qui pouvait en vouloir autant à cette étudiante vétérinaire obsédée par ses examens ? Julie et ses trois flics cherchent à percer les secrets de cette jeune fille trop tranquille. Amour, vengeance, intérêt, rien ne semble coller. Mais que faisait Laure quand elle s'absentait mystérieusement deux à trois fois par semaine et quel est ce secret qu'elle partageait avec Alexandre, trublion créateur de squats, traqué par des vigiles et repéré par les RG ? Et d'où tirait-elle l'argent pour payer sa part de loyer ? Alors que Julie investit le milieu étudiant, sa fille Sarah, jeune avocate, lui fait part d'un gros problème. Son amie d'enfance Sophie est venue la voir pour lui demander conseil. Son mari se montre de plus en plus violent avec elle, elle a peur, mais ce mari travaille à la DPJ, à quelques pas de Julie, dans le groupe de son ancien adjoint Motta... En pleine enquête de Julie, grosses complications internes. Les flics découvrent que Laure prêtait son corps pour des tests pharmaceutiques... Et si c'était là que résidait le mystère ? Dans des tests pratiqués à la va-vite, sans véritable contrôle, par des cliniques associées à des labos peu scrupuleux ? En creusant, ils vont s'apercevoir que Laure n'est sans doute pas la première victime, et que pour éviter qu'il y en ait d'autres il va falloir stopper cette machine infernale qui ne connaît qu'une loi : le profit.
Julie est confrontée à une affaire de viol où la parole d'un présumé coupable, riche banquier, s'oppose à celle d'une jeune femme, Léa. Les preuves matérielles manquent et Julie craint de voir l'enquête sombrer dans une impasse. C'est alors qu'elle découvre que le banquier a déjà été impliqué dans une affaire de viol, la victime s'étant suicidée peu avant le procès. D'où un non-lieu. Julie se convainc peu à peu que ce suicide était en fait un meurtre et que Léa est donc en danger. C'est pourtant dans ce contexte qu'elle comprend que Léa a menti et mis en scène son viol. Pourquoi ? Léa a-t-elle, en manipulant ainsi la police, cherché à venger la précédente victime du banquier ? Julie échoue à mettre à jour des liens entre les deux femmes. Par contre, elle découvre que Léa est la fille secrète d'un homme ayant été ruiné par le banquier qu'elle accuse de viol. Julie finit ainsi par comprendre que Léa a voulu venger son père. Ayant fait des recherches sur le banquier, elle a découvert l'histoire du viol et a décidé de le placer une nouvelle fois en situation d'accusé, certaine qu'il ne pourrait éviter la prison. Mais alors, si Léa est coupable, comment expliquer qu'elle ait été menacée, puis victime d'une tentative d'assassinat ? Julie va finir par comprendre que Léa, manipulatrice, a elle-même été manipulée par un rival du banquier, une sorte de Madoff sur le point de se faire prendre et déterminé à neutraliser tous ceux qui le gênent. En tentant de tuer Léa, cet homme cherchait en fait à faire accuser le banquier, coupable idéal du meurtre de celle qui l'accusait déjà de viol. Sarah tombe sous le charme d'un grand avocat, Jean-Marc Simon. Mais lorsqu'elle découvre que celui-ci a cherché à la compromettre et, par ce biais, à influencer sa mère, tout s'effondre. Au final, Jean-Marc Simon parvient à lui prouver sa bonne foi, laissant ouverte la possibilité d'une relation amoureuse pleine d'ambivalence
Julie enquête sur le meurtre de Lisa, une jeune aveugle retrouvée chez elle étranglée. Le meurtrier a été surpris par Agathe, la colocataire de la victime, malheureusement incapable de donner une description précise, car aveugle également. Les policiers découvrent que malgré son handicap, Lisa surfait sur Internet, où elle a chaté avec un certain " Nightbird ", qui semblait particulièrement attiré par les non-voyantes. Or il est impossible d'identifier ce mystérieux correspondant, qui se connecte systématiquement d'un lieu différent. Julie décide donc de l'appâter : on va lui laisser un message sur le site, censé être laissé par une aveugle, Kim. En parallèle, les policiers enquêtent du côté de l'école pour aveugles, où Lisa et Agathe suivaient une prépa HEC. Les soupçons s'orientent rapidement sur Michelle Delbart, la directrice de l'école, qui était très attachée à Lisa. Un indice trouvé sur la scène de crime semble l'impliquer, mais le témoignage de Jérôme Perron, le directeur de la Fondation, la met hors de cause. Entre-temps, Kim reçoit un message de " Nightbird " alors qu'elle est restée tard à la DPJ. Celui-ci lui donne rendez-vous dans un bar. Kim doit alors réellement se faire passer pour aveugle, mais " Nightbird ", qui s'appelle en fait Sébastien, s'aperçoit de la supercherie, et menace Kim. C'est Julie qui la sauve in extremis, et Sébastien réussit à s'enfuir.Une nouvelle piste apparaît quand les policiers découvrent que Lisa s'était violemment disputée avec Agathe, sa colocataire. Agathe avoue qu'elle avait découvert une liaison entre son père et Lisa. Celui-ci est interrogé, mais il nie en bloc. Pourtant une lettre écrite par Lisa semble l'incriminer, et son alibi pour le soir du meurtre ne tient pas. Il est mis en garde à vue, le temps d'obtenir les résultats des tests ADN. Parallèlement à tout ceci, Julie a une liaison avec Mertens, dont le travail d'évaluation à la DPJ est de plus en plu
Des agents de maintenance découvrent par hasard le cadavre d'une femme dans la cave d'un immeuble. L'équipe de Julie Lescaut se met au travail jusqu'au moment où un homme, doux et calme en apparence, vient s'accuser du meurtre. D'après lui, il a tué cette femme il y a dix ans. Pourtant, la légiste est formelle : ce cadavre n'a pas plus d'un mois...
Sophie Jodelle, une jeune journaliste sportive, est retrouvée morte dans les gradins d'un stade. Julie Lescaut découvre que la victime travaillait sur un article qu'elle voulait consacrer à Alice, future championne de cent mètres. Sophie a-t-elle été tuée à cause de ce papier ou à cause d'un scoop qu'elle s'apprêtait à sortir ? Au même moment, Sarah hérite d'un nouveau client, un vieux séducteur attachant qui a très bien connu son père. Mais bientôt, elle découvre un homme trouble qui a peut-être déjà tué...
Nicolas Corti, un voyant " médiatique ", habitué des plateaux télé, est retrouvé mort, assassiné au moment même où il s'apprêtait à révéler à la jeune Chloé la vérité sur son père, Jacques Feuillant, disparu alors qu'elle n'avait que 9 ans... Si les méthodes du " voyant " se rapprochaient plus de celles d'un détective privé que d'un medium, Julie et son équipe vont, en suivant pas à pas les traces de ses recherches, découvrir l'existence et les raisons de la disparition de ce père qui a tant manqué à Chloé.
Julie est confrontée à une affaire inédite. Elle doit résoudre le meurtre d'un journaliste, et toutes les pistes mènent de près ou de loin à Angel Cordoba, l'ambassadeur du Belize. Problème : l'enquête va très rapidement se trouver bloquée par les règles de l'immunité diplomatique. Julie trouve cependant les moyens de les contourner, et découvre que ce meurtre cache une affaire plus ancienne impliquant l'ambassadeur en personne, et la disparition à Paris d'un opposant politique du Belize.
La brigade fluviale repêche le corps d'une jeune femme assassinée dans les eaux de la Seine. Son identité est inconnue, aucune arme n'est retrouvée et il n'y a pas l'ombre d'un mobile. Pourtant, un lieu revient quelles que soient les pistes suivies par Julie : un péniche "club lounge" à la mode. Pourquoi la victime y travaillait-elle sous une fausse identité ? Pourquoi le policier de la fluviale, un temps suspecté d'être son amant et son meurtrier, est-il retrouvé mort à son tour ? Un incendie sur une péniche semble être à l’origine de tous ces mystères et la jeune femme assassinée semblait mener sa propre enquête pour découvrir la vérité…
Une jeune femme est retrouvée étranglée, allongée dans une barque dérivant sur la Seine. Ce mode opératoire rappelle à Julie une affaire qu'elle a résolue il y a trente ans. Le tueur vient de sortir de prison, mais Julie a du mal à croire qu'il ait pu recommencer, à peine libéré. Pourtant, une traque s'engage lorsque le criminel désigne clairement Julie comme sa prochaine victime...
Julie Lescaut et son équipe sont appelés dans un spa de luxe, où le corps d'une employée a été découvert. En voyant le visage de la victime, Roland blêmit. Il a, en effet, reconnu Chloé Renaudot, une de ses ex-indicatrices. Ancienne secrétaire et maîtresse de Laurent Corso, un truand, la jeune femme avait changé de vie après l'arrestation de son amant. Elle avait d'ailleurs témoigné contre lui lors de son procès. En toute logique, les soupçons des policiers se portent aussitôt sur Corso, qui vient tout juste de sortir de prison. Effondré, Roland s'en prend violemment à lui. Le lendemain, les policiers doivent reprendre leur enquête à zéro : le corps de Corso est découvert dans sa voiture...
Julie Lescaut et Roland rejoignent Motta sur les lieux d'un meurtre. La victime est Fanny Delerme, qui n'est autre que la fille de George Delerme, le directeur adjoint de la Police nationale. En fouillant les lieux, Julie découvre un engin explosif. Elle fait évacuer tout le monde en catastrophe. Malheureusement, lorsque la bombe explose, Roland est encore sur les lieux et, grièvement blessé, il sombre dans le coma. A la demande de Delerme, qu'elle connaît bien, Julie récupère l'enquête et lui promet de retrouver le meurtrier de sa fille. Delerme soupçonne Petrov, un mafieux russe qui a des raisons de lui en vouloir, mais cette piste est rapidement écartée par Julie...
Lorsque Julie et son équipe arrivent dans la salle des mariages de la mairie du XVIe arrondissement, c'est la panique : pompiers et ambulanciers tentent de gérer les invités d'une noce, victimes d'un braquage en pleine cérémonie. Le marié, un homme d'affaires, frappé par les agresseurs, gît inconscient, et sa fiancée, Carine Bonnet, est sous le choc. A terre, Julie découvre le corps d'une jeune femme, Hélène Vendry, lieutenant de police, tuée par balle par les braqueurs alors qu'elle cherchait à intervenir. Julie apprend que la fiancée, Carine, technicienne de surface dans une société de nettoyage, a déjà fait de la prison pour le meurtre de son précédent mari. Mais lorsqu'elle veut l'interroger, Julie se rend compte que Carine a disparu avec ses deux fils...
Julie Lescaut et les hommes de la DPJ enquêtent sur la disparition d'Eva Philibert, la fille d'un richissime industriel. Elle fait partie de la jeunesse dorée parisienne qui se rend dans les suites des palaces pour y faire la fête. La dernière fois que la jeune fille a été aperçue, elle se disputait avec Grégoire, son ancien petit ami, après une de ces soirées où tous les excès sont permis. Que s'est-il passé ensuite ? Crime passionnel ? Suicide ? Mauvaise rencontre ? Eva étant connue pour son caractère fantasque, toutes les hypothèses sont envisagées. Jusqu'au moment où Julie découvre que les fréquentations de la disparue ne se limitaient pas aux jeunes des beaux quartiers de Paris. Elle avait fait depuis peu la connaissance de Raphaël Lemoine, une jeune homme d'origine modeste qui semble avoir une grande influence sur elle...
Elizabeth de Salles, un mannequin de 50 ans travaillant pour les plus grandes marques, est retrouvée poignardée dans sa loge en pleine séance de photos. En enquêtant sur le crime, Julie Lescaut et son équipe découvrent qu'Elizabeth était une «cougar» entretenant des relations intimes avec des hommes beaucoup plus jeunes qu'elle. Or, le lendemain, c'est le corps de Béatrice Lesueur, une amie d'Elizabeth, qui est retrouvé dans les toilettes d'une boîte de nuit. Puis, le surlendemain, une autre proche de la première victime est poignardée. Si, dans un premier temps, Julie pense que ces femmes ont assassiné par un tueur en série, elle comprend vite que c'est plutôt un élément de leur passé commun qui explique leurs meurtres...
Un an après avoir procédé à l'arrestation mouvementée du jeune Kevin Berjot, qui a torturé et assassiné une vieille femme qu'il cambriolait, Julie Lescaut est convoquée comme témoin au procès du jeune homme. Alors que cette convocation l'assombrit sans que ses collègues ne comprennent pourquoi, Julie tombe des nues en apprenant que Sarah travaille en tant qu'avocate à la défense de l'accusé : comment sa fille a-t-elle pu accepter de défendre un tel dossier ? Que s'est-il réellement passé quand Julie a appréhendé Kevin Berjot ?...
La veille d'un concert, Esther Gally, la jeune violoniste solo de l'orchestre de chambre d'Hugo Corman, est retrouvée assassinée dans les coulisses du théâtre. L'enquête de Julie et son équipe s'oriente aussitôt vers ce qui semble être le mobile du crime : le vol du violon d'Esther, un Vuillemin d'une valeur de 300 000 euros. Les policiers espèrent que celui ou celle qui a dérobé l'instrument tentera de le revendre. Grâce à un luthier, une souricière est mise en place et une certaine Lila Mounier arrêtée. Or Lila, âgée de 17 ans, est une adolescente désoeuvrée qu'Esther hébergeait depuis quelque temps. Quel lien pouvait lier deux jeunes femmes si différentes ? L'enquête prend une nouvelle direction...
A la suite d'un jugement de divorce lui retirant la garde de ses enfants, Rose et Lucas, Marc Bonin les enlève à la sortie de l'école et disparaît. Deux jours plus tard, son corps est retrouvé dans un parking parisien : il se serait suicidé. Les deux enfants restent introuvables. Rapidement, un nouvel élément bouleverse l'enquête : Bonin ne s'est pas suicidé dans le parking, mais a été abattu dans un motel à Beaune. La police lance alors un avis de recherche national. Un témoin se manifeste : un médecin parisien qui dit avoir soigné le petit Lucas la veille. Il était accompagné d'une femme blonde inconnue qui roulait dans une berline de luxe. Julie tient enfin une piste et s'y accroche...
Vincent Motta, collègue et ami cher à Julie Lescaut depuis plus de vingt ans, est retrouvé assassiné sur un quai du Canal St Martin. Bouleversée, la commissaire n'a plus qu'une obsession : récupérer l'enquête et retrouver le meurtrier. En découvrant une enveloppe d'argent liquide au domicile de Motta, elle se met à le soupçonner de corruption. Mais décidée à ne pas salir la mémoire de celui qui l'a épaulée pendant si longtemps, elle garde ce secret pour elle. Il ne faudrait pas que Mado, qui vit une relation amoureuse avec David Kabel, le commissaire évincé de l'enquête, lui répète ces informations compromettantes...
Julie et son équipe sont en opération. Alors que le groupe se prépare à intervenir sur une partie de poker clandestine, il se fait devancer par deux braqueurs. Le hold up très rapide tourne mal. L'organisateur de la partie est tué devant sa femme. Prise de court, la police n'arrive pas à arrêter les deux malfrats et Gilles est pris en otage par ces derniers. Celui-ci est retrouvé mal en point dans un entrepôt désaffecté. Des investigations sur place permettent d'identifier un des deux braqueurs, Alexandre Staniak, bien connu des services de police. L'équipe recherche aussi un troisième complice. Elle se tourne vers Benjamin, le fils de la victime...
L'évacuation, par la police, d'un squat occupé par des altermondialistes vire au drame quand l'une des militantes trouve la mort. Julie découvre avec effroi que sa fille, Babou, qu'elle croyait à l'étranger, fait partie des squatteurs.
