Alexeï, malade et alité pour une « blanche, blanche journée », profite de son oisiveté forcée pour s’adonner à un long monologue intérieur. Il se laisse, pour d’obscures raisons, aller à un soudain besoin irrépressible de replonger dans sa propre mémoire. Il y voit notamment défiler ses sentiments ambivalents pour sa mère, et le souvenir amer d’un père poète, ayant trop tôt déserté le foyer familial. Par ce voyage intime qui le mène au cœur de son enfance, Alexeï espère éclaircir les mystères de son devenir. Il le renvoie pourtant irrémédiablement à sa propre situation et celle de son fils, confronté comme lui à une séparation parentale et au départ du père.
Герой картины мучительно боится потерять любовь и понимание близких людей: матери, любимой женщины, сына. И чувствует, что жизнь с каждым днём всё дальше уводит их друг от друга. Пытаясь сохранить семью, он обращается памятью к самым сильным впечатлениям своего детства, стараясь в том, детском, мировосприятии найти опору и оправдание своим сегодняшним переживаниям.
Um moribundo na casa dos quarenta anos recorda sua infância, a guerra e os momentos pessoais que contam e justapõem momentos cruciais da história soviética com a vida cotidiana.
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