Depuis le début de l’année, les élèves apprennent Le Songe d’une Nuit d’Été avec leur professeure, Mme Quenard. Mais l’arrivée d’un prof remplaçant renverse le fragile équilibre du groupe.
Les exercices s’enchaînent mais ne se ressemblent pas. Les élèves, d’abord peu réceptifs, tentent tant bien que mal de répondre aux exigences du prof et se prennent petit à petit au jeu. Quitte à y laisser de la sueur...
Elio arrive au gymnase à bout de souffle, très en retard. Le prof profite de cette occasion pour improviser un nouvel exercice. Cela ne va pas laisser les élèves indemnes, en particulier Elio, qui a peu confiance en lui.
Quoi de plus dur que de "jouer la vie" ? Se glisser dans la peau de celles et ceux que l’on connait si bien et imaginer leur réaction à nos actions. À travers des phrases parfois anodines, les élèves se livrent bien plus qu’ils ne le pensent.
En attendant le prof, Annaëlle fait jouer un aveu à ses parents par Ulrich, Milla et Charles. C’était sans compter sur l’arrivée remarquée de Stéphane.
Le prof propose aux élèves une carte blanche. Un exercice pour leur permettre d’exprimer toute leur créativité mais aussi de laisser parler ce qui les habite et qu'ils n'osent pas toujours exprimer. Mais s’exposer, c’est aussi se rendre vulnérable.
C’est le moment de préparer le final de la pièce. Mais pas facile de faire apparaître une nuit d’été dans un gymnase. Il faudra redoubler d’imagination. L’exercice du « rêveur » semble tout trouvé, encore faut-il avoir le rythme.
Le mois de cours touche à sa fin. Reste à travailler les saluts. Mais comment se dire au revoir quand il s'est joué bien plus qu'un cours de théâtre ?