Conor gelangt in den Besitz des magischen Speers des Schicksals, der ihm übernatürliche Kräfte verleiht. Mit Hilfe dieser Waffe gelingt es Conor endlich, die verfeindeten Stämme der Insel zu einen und die Besatzer zurückzudrängen. Doch der magische Speer hat eine unheilvolle Wirkung auf die Persönlichkeit Conors...
Conor finds the spear of tormented Longinus, who used it to kill Christ and the spear has a powerful affect on Conor, one that could be dangerous to all.
Autour d'un feu de camp, les enfants supplient Fergus de leur raconter une histoire horrible. Celui-ci leur raconte comment Conor - qui s'était fait confisquer l'épée paternelle par Brach, le chef d'une tribu montagnarde, jugeant quelque peu béjaune celui qui prétend confédérer les Irlandais contre les Romains - trouva par hasard un sanctuaire secret où face à un crucifix était conservée la lance de Longinus, qui avait été utilisée par ce dernier pour tuer le Christ. A peine l'a-t-il empoignée, cette lance eut un puissant effet sur Conor, mais aussi sur son entourage. Partout où il passait, les chefs comme hypnotisés se ralliaient à sa cause : Brach le montagnard, les Angras, les Laiden... Mais les arbres perdaient leurs feuilles, les brebis ne donnaient plus de lait, ni ne se reproduisaient. Et «Warrior», le cheval de la petite Maire mourut inopinément. Conor lui-même, devenant plus soucieux de sa gloire personnelle que du bien-être du peuple d'Irlande («Cette lance [qui] a le pouvoir de changer le monde est faite pour appartenir à un chef») déclara à guerre aux clans qui ne s'étaient pas encore soumis à son autorité... Jusqu'à ce que Catlin l'avertisse du caractère maléfique de cette arme que les Romains utilisèrent pour tuer leur Dieu, ce qui explique pourquoi «les Romains n'ont pas d'âme». Conor jeta la lance dans les flammes, et «Warrior» revint à la vie. Mais le lendemain, on s'aperçut que la lance maléfique était toujours intacte, sous les cendres. Conor résolut donc de la rapporter au sanctuaire secret où le rejoignit le maudit Longinus, qui attiré par ses vibrations. Le Romain le supplia, mais en vain, de mettre fin à sa quête éternelle en lui donnant la mort. Mais on ne rompt pas ainsi un maléfice...