« Vous venez d’entrer dans un autre univers : celui de la médecine des accidents tragiques… »
C’est ainsi qu’Antoine Légaré (Gilbert Sicotte), chef du département de psychiatrie de l’hôpital Saint-Arsène, accueille la classe de résidents qu’il veut préparer à la dure vie de chirurgien en traumatologie.
Travaillant depuis près de quarante ans à l’hôpital où son père a aussi fait carrière, il est, en quelque sorte, la conscience de l’institution.
La traumatologie, c’est le quotidien de Julie Lemieux (Isabel Richer) qui dirige le département.
Elle doit faire en sorte que son équipe soit toujours sur le qui-vive, former les résidents et s’occuper des familles des victimes. Une résidente en particulier retient l’attention : Sophie Léveillée (Laurence Leboeuf), la fille de la directrice générale, Diane Hevey (Pascale Montpetit). Deux blessés graves, victimes d’une course folle sur l’autoroute, mobilisent l’unité.
Nous partageons alors les passions de ceux et celles qui y passent leur vie. Doit-on toujours dire la vérité aux patients et à leurs proches?
Jusqu’à quel point Julie peut-elle faire des entorses à la transparence pour que tout baigne dans l’huile?
« Vous venez d’entrer dans un autre univers : celui de la médecine des accidents tragiques… »
C’est ainsi qu’Antoine Légaré (Gilbert Sicotte), chef du département de psychiatrie de l’hôpital Saint-Arsène, accueille la classe de résidents qu’il veut préparer à la dure vie de chirurgien en traumatologie.
Travaillant depuis près de quarante ans à l’hôpital où son père a aussi fait carrière, il est, en quelque sorte, la conscience de l’institution.
La traumatologie, c’est le quotidien de Julie Lemieux (Isabel Richer) qui dirige le département.
Elle doit faire en sorte que son équipe soit toujours sur le qui-vive, former les résidents et s’occuper des familles des victimes. Une résidente en particulier retient l’attention : Sophie Léveillée (Laurence Leboeuf), la fille de la directrice générale, Diane Hevey (Pascale Montpetit). Deux blessés graves, victimes d’une course folle sur l’autoroute, mobilisent l’unité.
Nous partageons alors les passions de ceux et celles qui y passent leur vie. Doit-on toujours dire la vérité aux patients et à leurs proches?
Jusqu’à quel point Julie peut-elle faire des entorses à la transparence pour que tout baigne dans l’huile?