Tiraillée entre son père et son rôle de rabbine, Léa doit résoudre son premier problème, prélude à une longue série, en tant que guide.
Ilan veut que son fils Noé fasse sa bar-mitsva, mais en pleine apocalypse climatique, Noé refuse. Ilan espère que Léa pourra les réconcilier.
Un homme vient trouver Léa pour s’occuper des funérailles de sa mère. Problème : ses dernières volontés sont interdites par la loi juive.
Léa doit célébrer un mariage et réalise que le marié est son grand amour de collège. Premier mariage, nouveau dilemme.
Léa tente de réaligner Clément, qui s’est tourné vers une pratique rigoureuse du judaïsme, avec ses parents athées qui n’acceptent pas ce choix.
La synagogue reçoit en don un fauteuil spolié à une famille juive par des nazis pendant la guerre. Que Léa doit-elle en faire ?
Léa se réjouit d’organiser le dîner de Pessah chez son père, mais elle est loin d’imaginer que les convives ont des comptes à régler.
André refuse que Léa officie à l’enterrement de Liliane, sa grand-mère. Mais elle a peut-être quand- même un rôle à y jouer.